C'est une consécration pour beaucoup. Ce vendredi, Enora Malagré fait l'objet du "Portrait" de Libération, publié chaque jour en dernière page du quotidien. La jeune femme, chroniqueuse de "Touche pas à mon poste" sur D8 et animatrice d'"Enora le soir" sur Virgin Radio - qui reviendra à la rentrée dans une version revue et sans Stéphane Bak, comme vous l'avait annoncé puremedias.com -, revient dans ce portrait sur son enfance, ses débuts mais aussi sa carrière actuelle et les polémiques dont elle a été victime.
Et parmi les (nombreuses) controverse autour de la jeune bretonne, il y a bien évidemment l'interview de Pharrell Williams sur Virgin Radio. Publiée sur YouTube, celle-ci avait entraîné une déferlante de commentaires négatifs sur les réseaux sociaux. La jeune femme avait même été malmenée par Cyril Hanouna, jugeant qu'elle "passait pour une fille facile". Si elle a préféré un temps l'optimisme, jugeant que cela lui faisait de la publicité, Enora Malagré a toutefois demandé le retrait de la vidéo, après que sa famille a été blessée par certains commentaires.
Les mois ayant passé, l'interview reste toutefois une casserole que traîne Enora Malagré. A Libération, la jeune femme évoque "son droit à la parité, au désir ou aux postures". "Merde, j'étais à 1 mètre du type. Et j'étais pas en train de lui faire une turlutte !" lance-t-elle, avec son franc parler habituel. Quant à sa sortie sur son apparence de "bébé trisomique" à la naissance, elle confie une fois de plus regretter. Elle "souligne que le direct est avide d'anecdotes et qu'à l'antenne les accotements ne sont pas stabilisés", rapporte nos confrères.
Enora Malagré confie une fois de plus regretter certaines séquences à l'époque où elle co-animait les soirées de NRJ avec Cauet. "Regard noyé au loin, elle dit la honte et le remord de s'être prêtée au plus trash et finit par essuyer une larme quand la conversation patine et que la fatigue gagne" écrit Libération. Enfin, sur le sujet politique, Enora Malagré ne cache pas avoir voté François Hollande aux deux tours de l'élection présidentielle de 2012. Néanmoins, si elle se considère comme une "gauchiste déprimée qui attend son Xanax", la jeune femme refuse de se plaindre, gagnant 5.000 à 6.000 euros par mois selon Libération.