Elle a été révélée au grand public en qualité de chroniqueuse de l'émission "Touche pas à mon poste". Énora Malagré a réagi dans l'émission de France Bleu "Dans le rétro", qui sera diffusée ce samedi 9 novembre 2024, au non-renouvellement de la fréquence de C8 par l'Arcom. "Je ne peux pas me réjouir, j'ai des potes qui vont se retrouver au chômage. Je suis en désaccord avec plein de choses mais je ne me réjouirai jamais que des copains soient dans la mouise", a d'abord insisté celle qui est aujourd'hui chroniqueuse dans les émissions "Le mag de la santé" sur France 5 et "La grande semaine" sur M6.
Avant de valider le fond de la décision "drastique" de l'Arcom : "Ce n'est pas de la censure. On fait des bêtises, on en paye le prix. On peut pas raconter n'importe quoi, être radical dans des propos, on ne peut pas frôler le fascisme", a-t-elle affirmé au sujet de certains "épisodes" de "Touche pas à mon poste !". Ceci dit, "je suis très fière d'avoir participé à cette émission au moment où j'y ai participé. On a changé les codes. J’ai dit des choses que jamais personne ne m’aurait autorisée à dire. On m’a laissée une grande liberté d’expression. C’est formidable, on a ri", a poursuivi la comédienne, partie dès lors qu'"elle n'en pouvait plus".
"Ce personnage qu'était celui de 'Touche pas à mon poste !', il a été créé pour être haut en couleurs, c'était contractuel. C'est ce qu'on me demandait de faire. Je n’allais pas le faire à moitié, sinon je n’étais pas payée", a plaisanté celle qui campait la "cousine insolente" au sein de la famille dirigée par Cyril Hanouna. "C'était une idée de génie pour que les gens puissent s'identifier à ces personnages. Pour que ça puisse leur parler. Ça a été un succès, bravo. Si j'en suis ici aujourd'hui, c'est parce que aussi j'ai fait partie de cette émission."