Touche pas à mon "Grand Journal". Hier soir, dans "Touche pas à mon poste" sur D8, Gilles Verdez est revenu sur le tacle adressé par Maïtena Biraben à Charline Vanhoenacker le matin même, sur France Inter. "Quand Charline Vanhoenacker a parlé de 'domestique', c'est la plus grande expression de mépris. Je parle pour tous les salariés de Canal et de iTELE : que faut-il faire pour ne pas essuyer votre mépris ? Il faut démissionner ? Nous ne le ferons pas !", avait lâché celle qui avait été la cible d'une chronique de l'humoriste belge sur la station publique.
Et c'est un Gilles Verdez "en colère contre France Inter" qui a pris la parole ce jeudi soir. "France Inter se paye 'Le Grand Journal' et Maïtena Biraben à longueur de colonne et de matinale, notamment la chroniqueuse Charline Vanhoenacker qui l'a traitée de 'domestique'. C'est un manque de respect. De quel droit on traite quelqu'un de 'domestique' ?", s'est énervé le chroniqueur. "France Inter, c'est le service public mais, en ce moment, France Inter prend le public en otage pour éditorialiser et se taper 'Le Grand Journal' et ça, c'est scandaleux. Il faut que ça cesse !", a-t-il dénoncé.
De son côté, Cyril Hanouna a tenté de calmer le jeu, assurant que "Touche pas à mon poste" allait prochainement parler de l'access de Canal+, qui a enregistré une fois encore son plus mauvais score ce jeudi. "On fera une séquence spéciale sur 'Le Grand Journal', qui ne marche pas comme on voudrait pour l'instant", a-t-il promis, tout en confiant être "très ami avec Maïtena et tous les gens du groupe". "On peut bien sûr critiquer France Inter mais il font aussi leur métier", a également précisé l'animateur-producteur, prêt à aider "Le Grand Journal".
"On est du même groupe et si on peut aider 'Le Grand Journal', on le fera. Et si 'Le Grand Journal' peut nous aider, ils le feront aussi", a assuré Cyril Hanouna, rappelant que "Je vous demande de vous arrêter", l'émission de Charline Vanhoenacker sur France 4, n'avait rassemblé que "100.000 téléspectateurs" et que "Maïtena fait beaucoup plus". Jean-Michel Maire a lui partagé l'avis de Gilles Verdez. "Le problème, c'est que sa chronique n'est pas humoristique. On l'avait recrutée comme le talent humoristique qui monte en Belgique. Moi, je n'ai pas souri une fois à ses chroniques. Franchement, je ne sais pas où elle est drôle", a dénoncé le chroniqueur. puremedias.com vous propose de découvrir cette séquence.