C'est une véritable guerre que se livrent les proches de Jean-Luc Delarue depuis le décès de l'animateur en août dernier. Tout a commencé avec une interview du père de l'homme de télévision qui affirmait avoir eu connaissance de la disparition de son fils par les médias et supposait une possible conversion à l'Islam de Jean-Luc Delarue. Des accusations démenties en bloc par Anissa Delarue, la veuve de l'animateur, ainsi que son avocat.
Puis, le lieu où a été enterré Jean-Luc Delarue a été sujet à controverse : Anissa Delarue assurant qu'il avait été inhumé au cimetière du Père Lachaise à Paris tandis que Jean-Claude Delarue affirmait que son fils avait été enterré dans le carré musulman du cimetière de Thiais, des déclarations confirmées de source municipale à l'AFP. Le JDD a aussi lancé un pavé dans la mare en publiant le testament de l'animateur.
Cette fois, c'est au tour de l'entourage d'Anissa Delarue de riposter. Les proches de la veuve de l'animateur ont fait publier cette semaine dans Gala un document attestant de l'état mental de Jean-Luc Delarue peu avant sa mort. Ce certificat daté du 21 septembre dernier et signé par l'hôpital américain de Neuilly affirme que l'animateur et producteur "disposait de ses facultés intellectuelles et de son plein libre arbitre, et ce jusqu'au soir précédant son décès".
Les proches de la veuve de Jean-Luc Delarue expliquent également que l'animateur avait lui-même demandé à ce qu'elle garde sa mort secrète "le plus longtemps possible". "N'annonce ma mort à personne car je ne veux aucune photo volée de mon cercueil, du transfert dans l'ambulance, de l'enterrement..." aurait-il déclaré, comme le rapporte l'entourage d'Anissa Delarue, qui tend à justifier les mystères entourant le décès de l'animateur.