Carla Bruni-Sarkozy ne connaît pas la crise. Si la chanteuse avait mis ses affaires entre parenthèses quand elle était à l'Elysée, elle a repris depuis 2012 des activités très lucratives à en croire L'Express cette semaine.
Dans la musique tout d'abord. Son dernier album, "Little French Songs", n'a pas été un grand succès mais l'ex-première dame a touché une très belle avance de Barclay (Universal), sa maison de disques : 1,07 million d'euros. "Il est peu probable que les avances d'Universal soient recoupées", reconnaît dans l'hebdomadaire la société qui a encaissé le cachet et dont Carla Bruni-Sarkozy est cogérante, Teorema. Il faut dire que son retour sur la scène musicale n'a pas fait d'étincelles, avec seulement 75.000 disques vendus. A titre de comparaison, son premier opus "Quelqu'un m'a dit" s'était lui vendu à plus de 2 millions d'exemplaires.
Carla Bruni-Sarkozy a surtout touché le jackpot grâce à la marque italienne Bulgari, dont elle est l'égérie depuis 2013. Cette marque de luxe du groupe LVMH a permis à une autre société aussi dirigée par l'ex-mannequin, Castagneto, d'encaisser 2,15 millions d'euros. "Castagneto a enregistré un bénéfice important de 1,098 million d'euros. Et là encore, Carla Bruni a préféré multiplier les frais de société. Surtout, pas question de se verser un salaire supérieur à 1 million d'euros de crainte, sans doute, d'être soumise à la taxe de 75%", écrit L'Express.