Ce matin, Valérie Trierweiler était l'invitée de la matinale d'Europe 1 pour parler des violences faites aux enfants, alors qu'elle préside, aujourd'hui, au Sénat, le colloque national sur le sujet. La Première dame a accordé une de ses premières longues interviews depuis l'élection de François Hollande à l'Elysée à la station du groupe Lagardère, également propriétaire de "Paris Match", le magazine dans lequel elle travaille.
Valérie Trierweiler est revenue sur son année passée à l'Elysée aux côtés de son compagnon. "On a senti ces derniers mois votre investissement dans certaines causes. Cela veut-il dire que vous avez trouvé vos marques dans cette nouvelle vie qui est la vôtre ?", lui a demandé Bruce Toussaint. "Oui, après un an d'apprentissage... Je crois que oui", a simplement répondu la journaliste, avant d'enchaîner : "Je l'avais dit au départ : je voulais qu'on me laisse le temps, on ne me l'a pas laissé, mais, bon, bah voilà je l'ai pris... (...) Il m'a fallu le temps de prendre mes marques."
"Vous imaginiez que cette nouvelle vie serait aussi difficile ?", lui a demandé le présentateur d'"Europe 1 Matin". "Est-ce que c'est aussi difficile ? Non, je ne dis pas que c'est aussi difficile. Encore une fois, il y a de très belles surprises dans cette vie donc, non non, je me réjouis d'être là où je suis aujourd'hui", a t-elle conclu visiblement mal à l'aise sur des sujets personnels, avant d'exprimer "sa solidarité" pour Didier François et Edouard Elias, les deux journalistes d'Europe 1 qui ont été enlevés en Syrie.