Les fans de l'émission seront ravis ! Dans une interview accordée au "Parisien" ce samedi, Laurent Ruquier annonce l'arrivée en prime-time de sa version des "Enfants de la télé" sur France 2. En effet, depuis septembre, l'animateur a repris les commandes du programme auparavant présenté par Arthur sur TF1. Chaque dimanche après-midi, il s'amuse avec ses invités à revenir sur leurs "casseroles" et leurs débuts à la télévision.
"On va enregistrer un prime des 'Enfants de la télé' avant la fin de l'année, ainsi qu'un des 'Grosses Têtes'", déclare Laurent Ruquier, précisant qu'il ne souhaite pas que l'ancienne émission de TF1 passe en deuxième partie de soirée, "c'est une émission beaucoup trop familiale". De plus, il confie son plaisir de présenter "Les Enfants de la télé" : "Si on doit comparer à 'ONPC', c'est sûr que c'est une émission facile, car les invités ne sont pas mis en cause. Ca m'amuse de voir toutes les archives et d'en suggérer à l'équipe."
Ainsi, il avoue avoir plus de facilités à conduire le programme dominical qu'"On n'est pas couché", dont les audiences s'érodent depuis la rentrée. "On ne fait effectivement plus les audiences d'il y a cinq ans, car la TNT a grandi. Mais on est autant regardés le samedi à 23 heures que les autres talk-shows à 19 heures", se défend-il, s'attaquant ensuite aux médias : "Franchement, arrêtez ! L'émission marche bien. Les journalistes font du buzz en disant le contraire, tout en nous reprochant à nous de vouloir faire du buzz."
Par la suite, il avoue qu'il n'est "pas plus dur" de travailler "avec Christine Angot et Yann Moix qu'avec Naulleau et Zemmour". "Ce qu'on écrit sur cette émission me fait rire. Je regarde moins Twitter. C'est intéressant, mais cela ne représente pas ce que pensent les Français. Les gens dans la rue ont un discours très différent", poursuit-il. Enfin, il s'explique sur l'absence de politique ces dernières semaines : "On a eu une bérézina politique en mai dernier. Les cadors sont hors jeu et on ne connaît pas encore bien les nouveaux. Les personnalités qui émergent sont partout. Je préfère faire sans. Mais Manuel Valls va venir bientôt !"