
Une place très convoitée… A l’occasion de la promotion de son livre “100 idées pour dépenser moins et vivre mieux” écrit avec Valérie Heurtel, Julian Bugier était l’invité, samedi 15 février, de l’émission “On refait la télé” sur RTL. Il s’est notamment confié sur sa vie normale loin des mondanités, la carapace qu’il s’est créé, ses débuts à Londres, son premier JT sans oreillette, ou encore son problème de pantalon en direct.
Durant l’entretien, l’animateur Eric Dussart a demandé : “Mais s'il venait à y avoir du changement au 20h de France 2 cette fois-ci. Parfois c'est une petite musique qu'on entend en ce moment. En septembre, il pourrait y avoir du changement au 20h de France 2. Si on vous le proposait ce 20h de France 2 en tant que titulaire, vous en avez été remplaçant, est-ce que ça vous intéresserait ou pas ?”.
Ce à quoi Julian Bugier a répondu volontiers : “Je ne sais pas, la question se pose pas parce que c'est une question qu'on me pose souvent et qu'on m'a longtemps posé avant que je prenne le 13h. Et au fond pardon, c'est pas de la langue de bois, mais je suis très heureux dans ce que je fais aujourd'hui. Donc quand la proposition se fera, que ça soit ici, ailleurs, demain, dans 10 ans, je l'étudierai avec beaucoup d'attention. Mais aujourd'hui je suis vraiment très heureux dans ce que je fais”.

Sur l’antenne de la radio généraliste du groupe M6, le quadragénaire qui exerce la profession de journaliste depuis bientôt vingt ans a poursuivi concernant le 20h : “Ce n’est pas un graal absolu ! Vous m'auriez posé la question il y a quelques années, je vous aurais sans doute répondu oui. Aujourd'hui, la question se pose différemment”.
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Et le présentateur, qui se retrouve face à Marie-Sophie Lacarrau chaque jour de la semaine, de conclure : “Est-ce que prendre une autre édition me permettrait d'avoir la même liberté et de faire autant d'exercices que je le fais aujourd'hui ? J'en suis pas convaincu… J’'ai la liberté aussi de faire plein de choses à côté pour le service public, parfois des collaborations radio aussi. Parce que j'aime beaucoup le média radio et je prends un immense plaisir d'être là. Ce n’est pas de la langue de bois mais je suis très heureux dans ce que je fais”.
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