Alors que deux habitantes de la maison de "Secret Story" se sont illustrées plus tôt cette semaine lors d'un défi géographique apparemment très difficile à relever, et qu'on se rappelle encore d'une candidate des "Marseillais" qui s'interrogeait sur l'existence de "deux lunes", une de leurs collègues de "L'île des vérités" leur emboîte le pas.
Cette fois, pas question de défaut de culture générale ou de mauvaise gestion du stress. La jeune femme, Maeva, a tout simplement livré une réfléxion plus ou moins philosophique qui pourrait presque rivaliser avec le fameux "Allo ? T'es une fille et t'as pas de shampoing", qui a suffi à propulser Nabilla en Une des journaux et lui a même permis de décrocher sa propre émission.
Mardi, dans le quatrième épisode de l'émission de NRJ 12, on a ainsi pu découvrir l'ancienne assistante de "La Méthode Cauet" alors qu'elle s'apprêtait à s'essayer à la plongée sous-marine. Maeva a d'abord eu du mal à comprendre qu'il fallait rincer son masque après avoir craché dedans pour espérer y voir quelque chose.
Puis, au moment d'entrer dans l'eau, la candidate a paniqué. "Je ne suis vraiment pas une femme poisson... Pourtant je suis poisson !", a-t-elle lancé. Le moniteur a tenté de la rassurer mais a réalisé, sans doute avec suprise, que la jeune femme avait un problème bien plus grave - un problème de conscience ! "Je ne sais pas pourquoi vous faites ça, on n'a même pas le droit d'y aller normalement. Pour les poissons, ça ne se fait pas ! Vous croyez que les poissons ils viennent chez vous ?", a-t-elle ainsi demandé.
Pour Maeva, la place des humains n'est donc pas dans l'eau, et elle l'a confirmé en salle d'interview. "Est-ce que les poissons viennent dans nos immeubles ? Nos appartements ? (La mer) c'est quelque chose pour les poissons ! Ils ont inventé la plongée, ça fait peur aux poissons. Moi si je rentre chez moi et que je vois un poisson qui vole comme ça, normal, ça va me faire flipper ! Alors que là, il est chez lui", a assuré la jeune femme, a priori totalement sérieuse, qui a conclu, très concernée par la situation : "Ca m'a fait mal pour les poissons".