Une séquence particulièrement émouvante. Léa Salamé et ses complices accueillaient, samedi 18 janvier dans "Quelle époque !", l’entrepreneur Thierry Breton, les humoristes Stéphane de Groodt et Charline Vanhoenacker, les actrices Clotilde Courau et Fatou Guinea, la journaliste Christine Ockrent, ou encore le navigateur Charlie Dalin.
Vincent Lagaf’, qui était aussi invité dans le talk-show faisant les belles heures de France 2, a eu droit à la lettre de Charlotte Dhenaux. Cette dernière a alors déclaré : “Franck, le premier détroit de ta mère biologique, comme une déclaration d'amour un peu tragique. Inspiré de Gaston, toi le trublion Lagaf’. Bourré de tatouages comme un mur sombre l’est de graff. Marin pompier, démerdard, impulsif, et soudeur. Au Club Med, tu es le gentil organisateur. Tu roules des pelles pendant tes cours de danse classique, un demi-poumon en moins, ton souffle demeure énergique. Tu détestes les limites, provoquant l'imprévu et animes une émission spéciale appelée “Tête dans le cul”. Susciter les fous rires pour les rattraper du passé, attendre un je t'aime et de nouveau compenser”.
Sous le regard attentif de Christophe Dechavanne, invité permanent de l’émission, l’humoriste a continué à s'adresser au présentateur du “Bigdil” sur RMC Story : “Quand dans l'expectative, la tendresse est un fantôme, anesthésié le cœur sèche, de la torpeur il prend l'arôme. Fan de Popin Pete, tu danses dans tes queues de pie roses, c'est une belle couleur pour sublimer les névroses. Amoureux des chevaux, telle une révélation absolue, tu te balades à cru sur le dos de ton pote Pélu. Tu perds Gégé dans un bateau à Djibouti toi l'homme qui murmurait à l'oreille de ses jet-ski. Robuste, la faiseuse d'anges n'arrive pas à te détricoter. Après tout ce temps, tu as toujours le trac, toi l'aventurier. Fidèle à tes équipes, tu ne veux pas décevoir. Merci de rempiler, on avait tous hâte de te revoir”.
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Après l'intervention de Charlotte Dhenaux, Léa Salamé a lancé sur le plateau de France 2 : “Elle était émouvante, non ?”. Ce à quoi Vincent Lagaf’ a répondu volontiers : “Il a fallu que j'attende 40 ans dans le métier pour avoir un hommage comme ça”.
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