
Un moment bouleversant. Léa Salamé et ses complices recevaient, samedi 1er mars dans "Quelle époque !", les acteurs Fabrice Luchini, Barbara Schulz, le journaliste David Pujadas, l’humoriste Elodie Poux, l’ex-ambassadeur Gérard Araud, ou encore le candidat de “N’oubliez pas les paroles” Benoît Salmon.
Christophe Dechavanne, qui venait d’annoncer officiellement son retrait de “Quelle époque !” sur France 2, après sa condamnation pour conduite sous l'emprise de stupéfiants en récidive, a eu droit à la lettre de Charlotte Dhenaux. Cette dernière a alors déclaré : “Coucou, c'est moi. La petite dernière de l'équipe. Face au vieux de la vieille et à sa carrière d'archétype. Tu en as déroulé des heures de direct à l'antenne. De “Trivial pursuit” à “Ciel mon mardi !”, tu enchaînes. Tu étudies d'abord le dessin puis l'immobilier. Le piano d'Alexis Weissenberg en guise d'allié. Glorieux, tu brandis enfin ta carte de presse numéro 43207. Tes émissions apparaissent...”.
L’humoriste a continué à s’adresser à celui qui a dû arrêter sa collaboration avec la chaîne belge RTL-TVI pour le programme " Les Orages de la vie" : “Engagé dans les capotes, le combat en bandoulière. Tu présentes le premier Sidaction, tu peux être fier. Petit, tu rêvais de devenir cascadeur et adore le goût du Mans dans ces 24 heures. Véritable détecteur, tu exècres l'odeur de l'ail. Dans la nuit, au backgammon, tu ne joues pas, tu brailles. Dans les couloirs, c'était pas gagné toi et moi. Au début, tu me l'as dit, tu n'y croyais pas”.

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Sur le plateau de France 2, Charlotte Dhenaux a conclu sa missive en racontant sur Christophe Dechavanne : “Puis tel un tonton attachiant mais sensible, tu n'as pas tari de soutien, toi, l'imprévisible. J'ai rencontré un homme qui planque sa bienveillance. Derrière ta colère, un cœur tout mou en convalescence. Ici à la régie, certains ont choisi de faire de la télé par le prisme de ton exemple, ils se sont inspirés. Tu détestes les oreillettes qui s'accrochent mal et tu nous ramènes des oeufs pondus par tes poules matinales. Merci pour tout, on te souhaite de l'apaisement à foison. En chœur, on s'est tous dit : ‘Il va nous manquer le con’”.
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