C'est une question que beaucoup se posent. La semaine dernière, les téléspectateurs de TF1 ont suivi les nouveaux aventuriers de "Koh-Lanta : Le feu sacré", produit par Adventure Line Productions. Au cours de ce premier numéro, les fans du programme ont découvert une nouvelle spécificité du jeu : le talisman du feu sacré. Ce petit artefact permet à son détenteur de se protéger ou de sauver un autre candidat lors d'un conseil.
Lors du premier numéro, c'est Nicolas qui avait remporté la première épreuve lors d'une finale face à Helena. Cette victoire lui a permis d'être capitaine d'équipe et d'être le premier à choisir parmi les autres participants pour former sa tribu. De plus, le présentateur Denis Brogniart a annoncé qu'il détenait à présent le talisman du feu sacré. Et Nicolas l'a utilisé pour se protéger dès le premier conseil puisque son équipe s'est inclinée à l'épreuve d'immunité.
Mais alors : comment ce talisman si puissant peut être remis en jeu ? Lors d'une visio-conférénce de presse en janvier dernier, TF1 et ALP ont dévoilé la réponse. Bien évidemment, Nicolas peut perdre cet avantage au cours de l'aventure. En effet, le talisman du feu sacré est remis en jeu lors de chaque épreuve de confort.
Si l'équipe avec un candidat possédant l'avantage gagne l'épreuve, l'aventurier conserve le talisman. En revanche, si le détenteur du feu sacré voit son équipe perdre, il sera contraint de céder son pouvoir. Pour cela, Denis Brogniart lui demandera à qui il souhaite transmettre le talisman dans l'équipe adverse, sans donner plus d'explications. Et ainsi de suite chaque semaine jusqu'à la réunification. Après, le feu sacré pourra revenir de manière épisodique.
Par ailleurs, si le détenteur du feu sacré gagne avec son équipe l'épreuve d'immunité, il pourra se rendre sur le camp adverse et interférer dans le débat autour de l'élimination d'un participant. S'il ne votera pas durant le conseil, il aura le droit d'intervenir dans les échanges pour en fin de compte sauver la personne de son choix. "Ce sont des stratégies à plusieurs coups. Ca amène une vraie nouveauté et ça crée des passerelles avec les tribus", avait déclaré Julien Magne, directeur des programmes d'ALP face aux journalistes.