"Qui veut épouser mon fils ?" revient. Le vendredi 25 avril prochain, à 23h30, TF1 donnera le coup d'envoi de la troisième édition de son programme de télé-réalité produit par Starling et animé par Elsa Fayer. Cette fois, ce ne sont pas cinq mais quatre mères qui vont tenter de trouver une dulcinée pour leurs fils. Et au vu des premières images diffusées par TF1, le casting s'annonce encore plus drôle et plus caricatural que lors des deux premières éditions du programme de télé-réalité.
Ainsi, cette année, Frédéric et Chantal, David et Rachel, Alexandre et Linda, Morgan et Pascale et Julien et Serge laissent leur place à des personnalités encore plus extraverties. Et cette année, TF1 a décidé de miser sur... la religion ! Ce sont Florian et Francine qui remplissent ce rôle. "Tous les jours, je prie Dieu pour que mon fils trouve une fille fidèle, sérieuse et croyante. Et je suis certaine que Dieu répondra à mes prières" assure Francine, implorant le ciel de lui trouver une fille loin des clichés de la télé-réalité, le tout devant son fils hilare.
La production a également trouvé "un gitan, un vrai" à en croire Véronique, la maman de Jacky. "Que les choses soient claires : qui prend le fils prend la mère" prévient-elle ! Le doyen de l'édition 2014 de "Qui veut épouser mon fils ?" est Thierry, le fils d'Elise. Cette dernière pense avoir la recette de l'amour parfait : "30 grammes de ménage, 40 grammes de cuisine, 20 grammes de repassage et 10 grammes d'amour". Enfin, Steven risque fort de faire penser à M. Pokora. Même barbe, même coupe de cheveux, même regard et mêmes tatouages... enfin presque. Car Steven s'est fait tatouer le nom de sa mère. "Pour le conquérir, il faudra d'abord me séduire" lance d'emblée sa maman, Corinne. Ca promet !
Fin 2012, la saison 2 de "Qui veut épouser mon fils ?" a attiré en moyenne 2,7 millions de téléspectateurs tout au long de ses 7 épisodes, contre 3,8 millions en moyenne en 2010. Néanmoins, si le total téléspectateurs était en baisse, la saison 2 a affiché une part d'audience supérieure avec 28% sur les individus de quatre ans et plus, en hausse de 0,6 point sur une saison.