Chroniqueuse insoumise recherche émission télé. Ce mercredi, Raquel Garrido, ancienne chroniqueuse des "Terriens du dimanche" sur C8, a accordé une interview à "Télé Loisirs" pour évoquer son avenir à la télévision. Au Pôle Emploi des chroniqueurs depuis l'annonce de l'arrêt de l'émission dominicale de Thierry Ardisson, l'ex-figure de la France insoumise a fait savoir sa volonté de rejoindre plusieurs chaînes et plusieurs émissions.
"J'ai envie de continuer à faire de la télé, car la place de l'insoumission sur le petit écran n'a pas beaucoup progressé en deux ans. Chez les éditorialistes, il y a une trop forte domination de ceux qui sont du côté du pouvoir. J'ai envie de continuer à défendre mes idées et porter les combats qui me tiennent à coeur", a déclaré Raquel Garrido, soulignant qu'elle compte continuer à exercer son métier d'avocate.
Elle a confié par ailleurs être en discussions avec plusieurs chaînes : "Depuis fin avril, j'interviens ponctuellement sur LCI à titre d'éditorialiste. J'ai bientôt rendez-vous avec Fabien Namias pour discuter de la saison prochaine". Mais l'ancienne porte-parole du mouvement de Jean-Luc Mélenchon a également fait part de son envie de rejoindre "On n'est pas couché" la saison prochaine sur France 2. "J'ai manifesté ma disponibilité à Laurent Ruquier et Catherine Barma car j'aimerais participer à la nouvelle formule d''On n'est pas couché'. C'est une émission très importante. Je m'entends très bien avec Catherine Barma, qui m'a toujours soutenue et considère que j'ai ma place à la télévision", a-t-elle poursuivi.
Les envies de télévisions de Raquel Garrido ne s'arrêtent pas là. En effet, l'ex-voisine de table de Jeremstar a confié son désir de participer à "Balance ton post" sur C8. "Je n'ai pas discuté directement avec Cyril Hanouna mais je suis en contact avec Franck Appietto. Il y aurait une certaine logique dans la mesure où c'est une émission en direct et j'adore le direct, c'est là où je me sens le plus à l'aise", a répondu l'Insoumise. Et de conclure : "Quel que soit l'endroit où je serai à la rentrée, j'ai envie de moins m'autocensurer que ces deux dernières années."