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Valérie Trierweiler : "Le tweet était une erreur que je regrette"
Publié le 3 octobre 2012 à 09:15
Par Kevin Boucher
Dans un entretien, Valérie Trierweiler revient sur son tweet de soutien à Olivier Falorni. Un petit message qu'elle "regrette" désormais.
Valérie Trierweiler revient sur son tweet de soutien à Olivier Falorni Valérie Trierweiler revient sur son tweet de soutien à Olivier Falorni© Abaca
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Retour en juin dernier. Alors que les élections législatives battent leur plein, les médias observent le duel entre deux socialistes dans la quatrième circonscription de Charente-Maritime. Ségolène Royal y affrontait Olivier Falorni, candidat qui n'avait pas voulu se retirer malgré les demandes formulées par le Parti socialiste. A l'aube du deuxième tour, une voix est sortie de l'ombre grâce à un tweet : celle de Valérie Trierweiler.

"Courage à Olivier Falorni"

La compagne de François Hollande avait en effet apporté son soutien au concurrent de Ségolène Royal, l'ancienne compagne de l'actuel Président de la République. "Courage à Olivier Falorni qui n'a pas démérité, qui se bat aux côtés des Rochelais depuis tant d'années dans un engagement désintéressé" écrivait Valérie Trierweiler avant d'être retweetée par plusieurs milliers d'utilisateurs du réseau social.

Depuis, l'affaire a connu un grand retentissement dans les différents médias et milieux politiques et Valérie Trierweiler a décidé de supprimer l'intégralité de ses messages sur Twitter. Pour la première fois depuis l'élection de François Hollande, la Première Dame accorde un entretien à Ouest-France ce matin. En plus d'annoncer renoncer à une émission sur D8, Valérie Trierweiler revient sur l'affaire du tweet.

"Cela ne se reproduira pas"

"C'était une erreur que je regrette. J'ai été maladroite puisque cela a été mal interprété. Je n'avais pas encore réalisé que je n'étais plus seulement une simple citoyenne" explique-t-elle, tout en assurant que "cela ne se reproduira pas". "Quant à ce que, François et moi, nous nous sommes dit, cela relève 'des affaires privées' et restera donc privé !" ajoute la Première Dame. Néanmoins, le traitement de ce message a été "disproportionné" selon Valérie Trierweiler. "Certains journalistes reconnaissent aujourd'hui en avoir beaucoup trop fait" confie celle qui continue de travailler à "Paris-Match".

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