Pas de photos volées de Valérie Trierweiler à la plage ! La première dame avait prévenu et a obtenu gain de cause. Suite à la publication de clichés où elle apparaissait en maillot de bain cet été, Valérie Trierweiler a attaqué plusieurs magazines en justice. VSD avait été le premier à être condamné à verser 2.000 euros à la compagne de François Hollande, somme qu'elle a reversé à la Maison des journalistes.
Forte de cette première victoire, Valérie Trierweiler avait ensuite décidé de poursuivre Public, Voici et Closer. Ce dernier avait d'ailleurs répondu dans un article publié sur son site internet où il dénonçait le manque de sécurité lors de la prise de ces photos. Aujourd'hui, la justice a une fois de plus donné raison à Valérie Trierweiler en condamnant les trois hebdomadaires, annonce l'AFP.
Ainsi, Voici et Closer ont été condamnés à verser chacun 1.500 euros à la première dame alors que celle-ci réclamait 25.000 euros au premier et 24.000 euros au second. De son côté, Public écope de 1.000 euros de dommages et intérêts quand Valérie Trierweiler réclamait pas moins de 20.000 euros. Le tribunal souligne que la compagne de François Hollande "n'a pas toujours fait preuve de discrétion sur sa vie privée, notamment quant à l'exposition publique de ses sentiments (photographies de baisers en public par exemple), attisant la curiosité du public".