Les fidèles téléspectateurs de l'"Amour est dans le pré" l'attendaient de pied ferme ! Ce lundi 19 août 2024, M6 va donner le coup d'envoi de la 19ème édition du programme phare présenté par Karine Le Marchand . En exclusivité, les équipes du Parisien ont pu assister à un discret déjeuner organisé avant la présentation à la presse de cette nouvelle salve réunissant l'animatrice, la production et les participants de cette nouvelle saison.
"Là, c'est vraiment la première fois qu'ils se retrouvent entre candidats", a souligné à nos confrères la productrice Gabriella Mather. "L'année dernière, ils se voyaient tous une première fois lors d'une formation, notamment sur les réseaux sociaux, mais c'était difficile de trouver une journée, car nos agriculteurs sont très pris sur leurs exploitations et cela prenait du temps. L'envie est encore plus là entre eux".
L'édition précédente, Karine Le Marchand et ses équipes ont été témoins d'innombrables rebondissements en coulisses. "Par deux fois, deux agriculteurs ont eu une aventure la veille de l'ouverture des courriers", a révélé la présentatrice encore marquée par l'abandon d'agriculteurs pour retourner dans les bras de leurs ex après la diffusion de leur portrait. "Alors certes, le lendemain, c'était fini. Mais même s'ils s'étaient dit avant, On sait que ce n'est que pour ce soir, ils étaient quand même perturbés après. Il y avait un truc".
A en croire ses révélations, "les deux fois, les filles ont souffert". "Les hommes sont passés plus facilement à autre chose. C'était une erreur, ce n'était pas terrible de faire cela la veille du courrier", a ajouté Karine Le Marchand en toute transparence. A l'affût de tout, elle a également précisé qu'elle était "intervenue deux fois cette saison".
"Une fois parce que l'on me l'a demandé et une autre fois, car il se passait quelque et qu'il le fallait. Il y a eu des évidences palpables où je n'ai pas eu à intervenir", a confié la principale intéressée. "Il y a eu, comme chaque année, des agriculteurs subjugués par un physique qui du coup oubliaient leurs critères et je leur ai rappelés. Et il y a eu énormément de rebondissements et beaucoup de rigolades !".
A rappeler que la saison passée lui a laissé un goût amer. Outre la vive polémique autour de Justine et Patrice, certains prétendants avaient notamment retrouvé l'amour en dehors des caméras mettant ainsi à mal le tournage. Autre changement de taille orchestré par la production, les nouveaux participants peuvent dorénavant interagir ensemble dans un groupe WhatsApp qui restera actif durant toute la diffusion de cette nouvelle saison.
"L'année dernière, ça cancannait sur ce qu'avait fait l'autre alors que cette année, ils étaient à fond sur leur couple", a précisé Gabrilla Mathier. "Là, on est vraiment sur le début de l'intégration de l'agriculteur dans la famille ADP, qui comprend aussi les anciens des autres saisons". De plus, les candidats ne seront plus réunis pour ouvrir à la vue de tous leurs fameux courriers.
"Il y avait des personnalités plus influençables, cela faisait des bonnes barres de rire mais au final, il y avait des erreurs de casting dans les choix", a révélé à son tour Karine Le Marchand. "Ceux qui n'avaient pas beaucoup de courriers allaient perturber les autres après. C'était un peu une ambiance cour de récré. C'était très sympa car des amitiés se créaient, mais on n'est pas là que pour rire. Cela va bien la rigolade, mais on est là pour trouver l'amour, quand même !".
Pour éviter les mauvaises surprises, la production de "L'Amour est dans le pré" a naturellement revu ses critères de casting. "Nous avons sélectionné des gens qui étaient peut-être plus prêts à prendre quelqu'un pour partager leur vie que ceux de l'année dernière", souligné à puremédias.com Gabriella Mather. "Des gens capables de compromis et de faire en sorte qu'une histoire dure sur la durée. Cette année nous avons été particulièrement vigilants sur le fait de se dire 'ok, il trouvera l'amour mais est-ce qu'il sera capable de rester sur le long terme avec cet amour qu'il a trouvé chez nous ?'. C'est plutôt ça qui nous préoccupait". Réponse dans quelques semaines !