La chanson française à l'honneur ce soir sur France 2. Accompagnée d'André Manoukian, Laury Thilleman recevra ce mardi 29 novembre, dès 21h10, les plus grandes stars du moment dans "La fête de la chanson française". Au programme, des prestations d'Amir, Jenifer, M. Pokora, Amel Bent, Zazie, Benjamin Biolay, Grand Corps Malade ou encore Juliette Armanet.
Cette nouvelle édition du divertissement musical produit par Dégel Prod (Daniela Lumbroso) et réalisée par Gérard Pullicino s'ouvrira par une performance de Michel Polnareff. En pleine promotion de son dernier album, "Polnareff chante Polnareff", dans les bacs depuis le vendredi 18 novembre, l'auteur-compositeur-interprète de 78 ans a, semble-t-il, imposé des règles strictes à la production. C'est ce qu'a révélé Laury Thilleman lors d'un entretien accordé à nos confrères de "TVMagazine".
"Ce n'est pas forcément ma génération mais on a tous grandi avec lui et son répertoire. C'est très impressionnant, j'ai beaucoup pensé à mes parents et mes grands-parents. J'avoue que j'ai ravalé mes larmes au moment où il est arrivé", a-t-elle d'abord confié avant d'indiquer que tout un protocole avait été mis en place par la production pour que la venue du chanteur se passe au mieux.
"Il y a tout un processus quand on accueille Michel Polnareff... On ne reçoit pas n'importe qui, donc on ne doit pas le voir avant qu'il se dévoile et que la scène s'allume. Il y a une haie humaine qui s'est créée avant son arrivée devant le piano, qui doit être impeccable. Ensuite, les premières notes retentissent. Tout est tellement rodé avant de le recevoir qu'on redoute un moment de stress intense. Finalement, il a été adorable, détendu et généreux, donc c'était vraiment une belle surprise", a-t-elle indiqué au journaliste Damien Canivez avant que ce dernier ne la relance en lui demandant : "Vous n'aviez donc pas le droit de le croiser en coulisses ?". "Non, pas du tout...", lui a t-elle simplement répondu.
A noter également que dans l'émission, plusieurs artistes rendront hommage à Charles Aznavour à l'occasion du cinquième anniversaire de sa disparition.