C'est l'émission de survie la plus ardue de la télévision française. Ce soir à 21h, M6 donnera le coup d'envoi de la troisième saison de "The Island", son docu-réalité d'aventure produit par Shine France. Pour renouveler l'émission, après une deuxième saison aux scores moyens, la Six parie cette année sur une spéciale "naufragés". En clair, les 22 participants seront littéralement lâchés par Mike Horn sur un archipel du Panama, au beau milieu du Pacifique, dont ils devront s'extraire par eux-mêmes.
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Mais la grande nouveauté par rapport aux saisons précédentes est l'introduction de la mixité parmi les participants. En effet, exit la séparation sur deux îles et place à la vie en petits groupes sur un archipel particulièrement inhospitalier. Petite particularité : les onze hommes et femmes sont répartis en quatre groupes de naufragés qui se croient seuls sur l'île. Un groupe de trois hommes, un groupe de quatre femmes et deux groupes mixtes composés respectivement de cinq et dix personnes tenteront ainsi de survivre pendant 28 jours sans assistance extérieure au Panama.
À quelques heures du lancement de la saison 3 de "The Island", puremedias.com vous propose de découvrir les images des 22 candidats ainsi que leur présentation en quelques mots.
Chambéry (Savoie)
"Je participe à The Island parce que c'est un rêve. De faire valoir le potentiel des femmes dans leur créativité, dans leur don, dans tout ce qu'elles ont de plus magique. Il y a une influence féministe quand même derrière tout ça".
Flawinne (Belgique)
"Ma famille me voit plutôt pépère, devant la télé, ils ne se rendent pas compte des capacités que j'ai..."
Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône)
"J'ai connu des conditions assez extrêmes donc aujourd'hui partir sur une île déserte pendant un mois ça ne me fait pas plus peur que ça. Je n'ai pas envie de rentrer et de me dire 'Jérémie tu as été nul', il faut que je sois bon et je le serai"
Lille (Nord)
"J'espère revenir de cette aventure en étant un mélange équilibré du Martin de la vie quotidienne et du Martin de la vie sauvage et de pouvoir mieux appréhender les choses, mieux gérer ma confiance en moi"
Paris
"Je pense que dans cette aventure je vais trouver des réponses à des questions que je ne me pose même pas encore, des questions qui vont se créer là-bas"
Yerres (Essonne)
"L'aventure va m'apporter le dépassement de moi-même, jusqu'où je peux aller. À l'âge que j'ai, c'est un challenge pour moi. Ce qui me motive, c'est ma femme et mes enfants"
Lognes (Seine-et-Marne)
"Ce qui me motive à participer à 'The Island' c'est le clin d'oeil à mes parents, j'ai envie de leur rendre hommage par rapport à la famine qu'ils ont connue. De me mettre à leur place pendant un mois. De savourer encore plus la chance que j'ai d'être ici et de ne pas avoir eu à vivre ces choses malheureuses qu'ils ont vécues"
Paris
"Être sur l'île ça va me permettre d'aller au-delà de l'apparence et de pas me soucier de ce que les gens voient de moi. J'ai envie de tester des nouvelles choses, bousculer tout mon mode de vie, passer de la femme moderne à la femme des cavernes"
Paris
"Cette aventure représente pour moi l'occasion de tester le retour aux sources, sans technologie, de devoir se débrouiller pour trouver sa nourriture, faire son feu, tout ça pendant plusieurs semaines sans aide extérieure"
Levallois-Perret (Hauts-de-Seine)
"Ce qui me motive à participer à cette aventure c'est le dépassement de soi, la capacité d'adaptation, l'envie de se dépasser, et répondre à la question 'estce que je suis capable de le faire ? Est-ce que je peux m'adapter à l'endroit où je vais aller ?' Et puis vivre l'ex - traordinaire, l'exploit"
Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne)
"Cette aventure représente un énorme challenge à relever, une façon de me dé- passer. J'ai envie de montrer aux autres et notamment à mon fils que, malgré les difficultés, dans la vie rien n'est insurmontable"
Istres (Bouches-du-Rhône)
"Je vais faire 'The Island' parce que j'ai envie de me dépasser, dépasser mes limites. Au final c'est un nettoyage intérieur. Je pense qu'on repart toute neuve quand on revient d'une aventure comme ça où on est revenu à l'essentiel"
Bénodet (Finistère)
"Si je vais sur 'The Island' c'est pour me prouver à moi-même que je suis capable de le faire et pour prouver à différentes per - sonnes en situation de handicap que ce n'est pas parce qu'on a une prothèse qu'on n'est pas capable de faire quelque chose comme ça"
Marseille (Bouches-du-Rhône)
"Sur l'île, ne pas me laisser donner des ordres et devoir prouver que je peux faire les choses par moi-même, ça va être un enjeu. J'ai des tonnes de choses à me prouver. Ce n'est pas parce que je suis toute menue que je ne peux pas faire les choses"
Montrouge (Hauts-de-Seine)
"Je veux aller sur l'île pour montrer qu'on peut être végétarienne et survivre 28 jours sans chasser, et sans tuer d'animaux"
Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine)
"Être urgentiste sur un programme comme ça me permet de réunir mes deux passions et d'exercer ce que je fais dans des conditions différentes. Ça me permettra aussi de sortir plus forte. J'espère enlever tout le superflu de ma vie et découvrir une nouvelle Maryse que je ne connais pas forcément"
Manthes (Drôme)
"L'objectif que je me fixe en participant à cette émission c'est me prouver que je suis capable de sortir de mon confort. J'ai tout dans ma vie, ma famille, ma maison, je veux me prouver que je suis capable de sortir de tout ça. Je veux revenir différent, je veux avoir une autre vue sur la vie en général"
Russange (Moselle)
"'The Island' peut m'aider à trouver ma place dans la vie parce que je vais être confronté à des situations que je n'ai jamais connues, je vais réfléchir, créer et échanger avec les gens donc je suis obligé de ressortir de cette expérience grandi et j'aurai certaine - ment des réponses à mes questions"
Clamart (Hauts-de-Seine)
"Je vais sur l'île pour une simple raison, c'est une nouvelle expérience. Dans mon métier on est amenés à avoir différentes expériences, cette expérience-là est... hors du commun, c'est un surpassement de soi-même, une façon de se découvrir sous un nouveau jour, se découvrir intérieurement"
Paris
"Je pense que je suis plutôt solide et j'attends de l'aventure qu'elle me le prouve. J'attends de voir quelles sont mes limites mentales et jusqu'où mon mental peut porter mon physique"
Gouvernes (Seine-et-Marne)
"Je veux participer à 'The Island' et prouver aux gens que je suis encore comestible, que je ne suis pas périmée, que je ne suis pas un vieux truc que l'on met dans un coin parce qu'elle a dépassé l'âge. Parce que dans nos sociétés, professionnellement quand on a passé 45 ans on est déjà un peu périmé. J'ai envie de montrer que j'ai encore la capacité de faire plein de choses"
Pennes-Mirabeau (Bouches-du-Rhône)
"Je m'arme pour me dire qu'il faut que j'arrête de m'inquiéter pour tout le monde et que pour une fois dans ma vie il va falloir que je ne m'inquiète que pour une seule personne : moi"