Le deuxième semestre a été chargé pour Alessandra Sublet. Après une saison 2013-2014 calme, avec quelques numéros de "Fais-moi une place" sur France 5 et quelques primes sur France 2, l'animatrice a repris un rythme plus soutenu en acceptant deux émissions : "Un soir à la Tour Eiffel" le mercredi sur France 2 et "Petit dimanche entre amis" sur Europe 1. La fin d'année approchant à grands pas, Alessandra Sublet dresse son bilan de 2014 dans un entretien accordé à nos confrères du Parisien / Aujourd'hui en France.
"Jusqu'au mois de septembre, c'était parfait. Ensuite, je me suis retrouvée dans une machine à laver", lâche l'ex-animatrice de "C à vous" sur France 5, assurant que "cela a été violent". En cause : le rythme de ses émissions et surtout les critiques sur son talk show du mercredi soir. "En reprenant deux hebdomadaires sur France 2 et Europe 1 après une année sabbatique, j'ai été d'une inconscience totale ! Sur France 2, les critiques ont été rudes", explique Alessandra Sublet.
Parmi les critiques formulées par ses détracteurs - et notamment Thierry Ardisson : un supposé manque de culture. "On a une vie entière pour apprendre !", relativise Alessandra Sublet, qui reconnaît les erreurs des premiers numéros d'"Un soir à la Tour Eiffel". "Il fallait être prêt et on ne l'a pas été totalement. On s'est remis en question et, en deux mois et demi, on a entièrement changé l'émission", raconte l'animatrice, "peut-être pas au bout de (ses) peines mais pas au bout de (ses) envies", affirmant avoir la confiance de son directeur des programmes, Thierry Thuillier.
En attendant, "Un soir à la Tour Eiffel" sera de retour sur la grille de France 2 début 2015, et tentera de conserver le public récemment acquis. En effet, après des débuts décevants, l'émission produite par 3ème Oeil a réussi à se maintenir au-dessus du million de fidèles ces deux dernières semaines et a même enregistré son record le 3 décembre, grâce à une spéciale "Fais pas ci, fais pas ça", qui a réuni près de 1,4 million de téléspectateurs, soit 11,9% du public de quatre ans et plus, selon Médiamétrie.