Elle était l'une des personnalités phares de NRJ 12, à la tête du "Mag" depuis 2012. Pourtant, en fin d'année dernière, après la révélation dans la presse d'accrochages parfois violents avec Matthieu Delormeau, Ayem Nour a choisi de ne pas rempiler dans la quotidienne de la chaîne, préférant se consacrer à d'autres projets. Plutôt discrète, hormis une sortie remarquée sur ses camarades en février, affirmant entre autres que sa remplaçante Caroline Receveur avait "été choisie par défaut", Ayem est sortie de son silence de manière très virulente.
Depuis plusieurs jours, la jeune femme révélée dans "Secret Story 5" sur TF1 se livre en effet à des réglements de compte sur Twitter. Sa première cible a été ce week-end Nabilla, son ancienne amie et camarade dans "Hollywood Girls", dans une salve de messages supprimés dans la foulée. Seule trace restante, un simple "Ridicule #next" sur le compte de Nabilla.
Hier, c'est Caroline Receveur qui a subi les foudres d'Ayem, après s'être interrogée sur sa présence sur le tapis rouge à Cannes, marquée notamment par une photo de sa culotte. A nouveau, l'échange - où Ayem taxait notamment Caroline Receveur de "petite remplaçante de second choix" - a été supprimé, la blonde ne laissant que deux tweets en ligne.
Le jour ou je devrai montrer mon cul ou me faire passer pour Mère Thérésa pour faire le buzz ... j'aurai vraiment touché le fond
- Caroline Receveur (@caroreceveur) 26 Mai 2014
- Caroline Receveur (@caroreceveur) 26 Mai 2014
Et ce mardi, c'est de nouveau Nabilla qui a été la cible des tweets d'Ayem, celle-ci évoquant des liens de la première avec "le mari d'une célèbre Victoria". Ce à quoi Thomas Vitiello, également ancien candidat de "Secret Story" et chroniqueur dans "Le Mag" de NRJ 12, a été mêlé, entrant dans un échange de bas niveau avec Ayem. Le premier a ainsi traité son ancienne collègue de "prostituée" et de "mythomane", la jeune femme se défendant en évoquant "un site porno" où son ancien collègue ferait des rencontres le jour de Noël... Des messages depuis supprimés mais dont les followers des protagonistes ont évidemment fait des captures.