Retour en 2011. Après onze ans à l'antenne, France 3 choisit d'arrêter le magazine "Côté maison" présenté par Laurent Petitguillaume pour le remplacer par "Ca déménage", avec le même animateur aux commandes. Mais le programme ne réussit pas à trouver son public et est vite interrompu, à l'issue de dix numéros. Une mauvaise expérience depuis oubliée, mais pas pour tout le monde. Interrogé par nos confrères de Télé 2 Semaines, Laurent Petitguillaume dit avoir très mal vécu l'expérience "Ca déménage".
L'animateur confie être "toujours un peu" amer de l'arrêt de "Côté maison". "Je ne comprends toujours pas pourquoi France 3 a décidé de supprimer Côté maison après 11 belles années. A la place, elle a choisi de mettre à l'antenne Ça déménage. Cette émission a été une très mauvaise expérience pour moi. Elle n'était ni faite ni à faire et je savais dès le début que ça n'allait pas marcher" explique Laurent Petitguillaume, confiant par ailleurs avoir assuré les tournages tant bien que mal, manquant cruellement d'envie.
"J'ai fait les dix numéros en pleurant, avant qu'elle ne s'arrête. Mais tout n'est pas négatif car j'ai eu la chance de pouvoir rebondir juste après en radio sur RFM et découvrir plein de nouvelles choses" juge-t-il. Par ailleurs, trois ans après cette mésaventure, Laurent Petitguillaume sera à nouveau sur France Bleu à la rentrée. "Je vais animer les mêmes émissions que cette année. Je serai à l'antenne tous les jours du lundi au vendredi pour mon émission Les Experts, de 10h à midi. Et, le week-end, je proposerai sur l'antenne nationale de France Bleu Le Mag musiques. Dans cette émission, je reçois plein d'artistes qui sont au coeur de l'actualité" explique-t-il.
Et cet été, Laurent Petitguillaume sera l'un des candidats de "Fort Boyard", où il a été victime d'un malaise. "Pendant une épreuve qui se déroulait sous l'eau, j'ai fait un malaise. Je devais ouvrir une grille avec une clé. N'y arrivant pas, j'ai commencé à m'énerver et n'arrivais plus à retenir ma respiration. J'ai dû arrêter brusquement l'épreuve. Les médecins présents sur les lieux m'ont ensuite examiné mais ils m'ont laissé participer à la fin du jeu" raconte Laurent Petitguillaume, évoquant tout de même "une très belle expérience malgré mon malaise vagal, qui était sûrement dû à une trop grosse excitation".