"Je ne pardonne pas" : Studio Danielle ("Les traîtres" 2024) réfute les excuses de Romain Puértolas qui s'agenouille devant elle

"Les Traîtres" sont un jeu fait de mensonges et de manipulations à l'issue duquel les "grands méchants" triomphent à la fin. Pour la troisième saison consécutive, le divertissement de M6 a été remporté par les renégats, représentés cette fois-ci par le duo d'amoureux Laurent Ruquier/Hugo Manos. Le futur animateur du "Maitre du jeu" et son compagnon ont réussi à duper tous leurs camarades, rejoignant Clémence Castel, David Douillet (saison 1) et Juju Fitcats (saison 2) dans le cercle fermé des vainqueurs. La doyenne de cette édition, Studio Danielle, a été la dernière à faire les frais de la perfidité du couple de traîtres.

Tout au long de cette aventure, la Youtubeuse de 70 ans s'est distinguée par son antagonisme avec le romancier Romain Puértolas, lequel l'a immédiatement soupçonnée de faire partie du camp des "vilains". Quitte à s'acharner contre elle lors des tables rondes. Le ton était alors monté dans les tours entre eux. "Tu dis que tu es un enquêteur, arrête ! T'es un écrivain de quoi ? Si je suis éliminée, je te jure, je peux te foutre une grosse claque dans la gueule !", l'avait-elle notamment menacé. Des mois après le tournage, la colère de l'acolyte d'Arthur Lombard n'est pas retombée. Lors de la réunion de débriefing, suivant l'épisode final du 27 septembre, Studio Danielle a une nouvelle fois tiré dans les pattes de l'ancien policier. "Il m'a fait pleurer. Il s'est acharné. Je l'aurais tué. J'étais tellement en colère contre lui", blâmait celle qui ne voulait même plus voir son ennemi en peinture.

C'était mal connaître la production de M6 qui a convié Romain Puértolas pour un ultime face-à-face. Mais cette confrontation n'a pas apaisé les tensions, malgré l'intention de l'invité surprise de s'agenouiller devant son aînée pour lui présenter ses excuses. "Non, je ne pardonne pas à un homme qui se met à genoux", a réfuté la forte tête, encore blessée par ce qu'elle estime être des attaques personnelles. "On verra après", a-t-elle néanmoins ajouté, laissant la porte ouverte à une éventuelle réconciliation.