Nabilla Benattia continue sa tournée des plateaux de télévision pour entretenir la notoriété acquise grâce aux "Anges de la Télé-Réalité". Après "Le Grand Journal" en avril, la Franco-suissesse était dimanche l'invitée du "Supplément" de Maïtena Biraben sur Canal+. Et au cours de l'émission, la bimbo est revenue sur ses projets mais aussi son passé.
Se présentant comme l'incarnation de "la jeunesse d'aujourd'hui", l'auteure du désormais culte "Allo quoi!", a dans un premier temps confirmé son intention de "cultiver" son buzz pour "faire des choses" qu'elle aime. Affirmant avoir "le sens des affaires", la jeune femme a confié plancher depuis un an sur sa propre émission de télé-réalité qu'elle co-produira. Nabilla a également précisé qu'elle était co-propriétaire, avec sa société de production, de sa réplique déposée à l'INPI en avril dernier.
Affirmant que l'argent était selon elle une "valeur sûre", la starlette a par ailleurs confirmé son désintérêt pour la chose politique. Détentrice de la double nationalité franco-suisse, la jeune femme a ainsi confié ne pas avoir voté à la dernière présidentielle, ajoutant pour répondre à une question sur son orientation politique : "Je ne connais pas trop ma droite de ma gauche". Toujours sur le terrain politique, Nabilla a avoué sa surprise que plusieurs hommes politiques l'aient publiquement évoquée. "Ca m'a fait marrer qu'un homme politique s'intéresse à mes seins", a-t-elle ainsi affirmé, revenant sur les déclarations de Jean-Marie Le Pen sur sa poitrine généreuse.
Mais lorsque la conversation a dévié sur son passé, la starlette s'est faite un peu moins loquace. Interrogée sur ses relations tendues avec son père, Nabilla a affirmé lui avoir reparlé et a ajouté qu'il "commençait à être fier (d'elle)". Lorsque Maïtena Biraben l'a questionnée sur son passage en prison, une information qu'elle a, par le passé, démentie, la jeune femme a déclaré dans un premier temps qu'elle n'avait pas envie d'en parler, avant de céder face à l'insistance de l'animatrice. Elle a ainsi fini par lâcher qu'elle avait bien fait de la détention préventive au centre pénitentiaire pour mineurs "La Clairière" de Genève. Avant de préciser : "Je m'en fous, j'assume. Tout le monde fait des erreurs". puremedias.com vous propose de découvrir la séquence, à partir de la 11ème minute dans la vidéo ci-dessus.