C'est un drôle d'entretien que publie ce jeudi Metronews. Le quotidien gratuit a souhaité interroger Basile de Koch, le compagnon de Frigide Barjot, figure de proue de "La Manif' pour tous", suite à une publication du Parisien / Aujourd'hui en France qui affirmait que le couple possédait deux appartements et trois caves à Paris, une maison à Port Grimaud et une autre à Trouville-sur-Mer. Des informations qui faisaient suite à l'expulsion de Frigide Barjot et Basile de Koch de leur logement social du XVe arrondissement de Paris.
Pour se faire confirmer ou infirmer ces informations, Metronews a contacté Basile de Koch... qui leur a opposé un refus clair. "Je ne vous ferai pas cette chance. Malheureusement, je suis désolé je n'ai rien à vous dire de particulier, notamment sur cela qui n'a rien à voir avec l'affaire. Prenez connaissance de l'assignation. Prenez connaissance du dossier. Si vous voulez écrire des conneries sur nous, écrivez-les sans nous" a ainsi répondu Basile de Koch, de son vrai nom Bruno Tellenne, ajoutant : "Mon avis je le garde pour moi, d'accord ! J'en ai marre de lire vos conneries dans metronews, voilà."
Afin d'étayer ses propos, Basile de Koch a promis au quotidien d'"envoyer copie de (leurs) articles" avant d'expliquer que sa colère provient de récentes déclarations de sa compagne, Frigide Barjot, au quotidien gratuit. "Je lui ai demandé d'arrêter de parler avec vous et moi je n'ai pas l'intention de la remplacer. J'ai le droit de parler à qui je veux, non ? Et vous n'en faites pas partie, c'est tout" s'est agacé Basile de Koch, affirmant être agressif "à force de lire des conneries".
Et lorsqu'en reprenant ses propos, le quotidien souhaite savoir s'il veut "rajouter des conneries aux conneries de (sa) femme", Basile de Koch répète qu'il n'a plus envie que sa compagne réponde au quotidien. "Je ne vois pas ce que ça nous a rapporté depuis que l'on se connaît" a-t-il lancé en réponse. "Ca ne sert à rien. Il y a des gens bien intentionnés, et puis il y en a d'autres. Vous ne faites pas partie des gens bien intentionnés" a ajouté Basile de Koch avant de mettre fin à l'entretien.