Gégé de "Koh-Lanta" condamné. Hier, le candidat mémorable de la saison 11 du jeu d'aventure et participant de "Splash ! Le grand plongeon" sur TF1 a été condamné à deux ans de prison avec sursis pour agressions sexuelles sur plusieurs jeunes filles mineures par le tribunal correctionnel d'Evreux. La condamnation de l'éleveur animalier comprend également "une obligation de soins, l'indemnisation des victimes, l'interdiction de tout contact avec elles ou avec des mineurs ainsi que l'inscription au Fichier judiciaire automatisé des auteurs d'infractions sexuelles ou violentes", rapporte Normandie-Actu.
Interrogé par nos confrères de TV Mag, Gérard Icardi a annoncé qu'il allait faire appel de cette décision. "C'est du grand n'importe quoi. On me traite pire que DSK alors que je n'ai rien fait. C'est vraiment dégueulasse. Je n'ai même plus le droit de travailler. M'obliger à fermer mon parc animalier, c'est insupportable", lâche-t-il. "Je fais appel de cette décision qui ne rime à rien. Avec mon avocat, je vais démontrer que cette affaire est montée de toutes pièces par une fille de gendarme. Tout ça parce que je n'ai pas voulu l'embaucher. Et la justice qui ne veut pas m'entendre !", assure l'ex-aventurier.
Par ailleurs, Gérard Icardi se dit victime d'une injustice et assure à nos confrères que "tous les témoignages qu'(il a) pu fournir n'ont pas été retenus". Et Gégé de "Koh-Lanta" d'incriminer le subtitut qui, selon lui, "n'aime pas les gens de télé". "Cette affaire détruit ma famille. Ma femme a déjà fait deux crises cardiaques, je ne peux plus travailler. C'est sûr que ça ne va pas se passer comme ça. Je veux qu'on m'écoute : je jure sur la tête de mon fils qui est mort l'an dernier que je n'ai rien fait. Je suis innocent", clame-t-il.
Gégé de "Koh-Lanta" était accusé d'avoir eu des gestes déplacés envers plusieurs des stagiaires de son parc animalier, situé à Vascoeil dans l'Eure et dans lequel l'ancien participant de "Koh-Lanta" et "Splash" élève des chats. Si les faits s'étaient déroulés en 2011, la première plainte n'avait elle été déposée qu'en 2013. D'autres témoignages de jeunes filles avaient alors été recueillis par la gendarmerie.