Musique
Quentin Mosimann : "J'ai failli faire l'Eurovision l'année dernière"
Publié le 29 mars 2011 à 14:46
Par Charles Decant
A l'occasion de la sortie de leur duo "All Alone", Quentin Mosimann et Sheryfa Luna répondent aux questions de puremedias.com. Echecs de leurs albums précédents, nouveau label, nouvelle direction pour Sheryfa ou encore le poids de la Star Ac pour Quentin.
Quentin Mosimann et Sheryfa Luna Quentin Mosimann et Sheryfa Luna© Crédits : Abaca
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L'année dernière, elle refusait l'idée de faire de l'électro mais Sheryfa Luna a changé d'avis. La chanteuse française, révélée dans Popstars il y a un peu plus de trois ans, s'allie cette année avec Quentin Mosimann pour un duo baptisé "All Alone". Le titre marque une nouvelle direction pour la chanteuse qui prépare un album plus dance, tandis que Quentin Mosimann prépare son retour avec un troisième opus.

A l'occasion de la sortie du single, les deux artistes ont accordé une interview à puremedias.com. Ils évoquent le succès mitigé de leurs derniers opus, les émissions de télé-réalité qui les ont révélés ou encore le fait d'avoir quitté leur label et signé avec le même, une signature qui marque un nouveau départ pour eux. Quentin révèle par ailleurs qu'il était à deux doigts de représenter l'Eurovision l'an dernier, tandis que Sheryfa Luna a dû renoncer à Danse avec les stars à cause de problèmes de santé.



puremedias.com : Qui a eu l'idée de ce duo ?
Sheryfa Luna : Je pense qu'on a eu l'idée tous les deux. Ça fait un bout de temps qu'on se disait que ce serait drôle.
Quentin Mosimann : C'était presque évident. Moi j'avais deux-trois titres qui traînaient que j'avais commencé à faire. Et puis on a commencé à en discuter quand on a fait le lancement de DJ Hero. C'était assez drôle comme situation. Et puis ils sont venus à la maison avec son manager, j'ai fait écouter deux-trois trucs et on a bien accroché sur "All Alone". Elle a commencé à poser une voix, direct, à l'arrache. Et puis ça l'a fait tout de suite. On s'est bien entendus.
Sheryfa Luna : C'est allé très vite.
Quentin Mosimann : Oui en l'espace de trois mois on a fait le clip, le disque, l'enregistrement et là on commence la promo donc c'est énorme. Tout va très vite et on est très contents de ça.
Sheryfa Luna : Non c'est vrai, on ne s'attendait pas je pense à ce que ça aille aussi vite. On s'est dit "on va essayer quelque chose" en fait et comme ça a été tout de suite artistiquement très fusionnel, voilà ça l'a fait. On a fait écouter le titre à notre label.
Quentin Mosimann : Ce qui est drôle c'est qu'on a signé tous les deux, en même temps, dans le même label.

Et comment vous êtes-vous connus ?
Sheryfa Luna : On s'est croisés plusieurs fois sur des promos, des plateaux, des plateaux multi artistes aussi beaucoup. Et ensuite on s'est retrouvés sur le lancement de DJ Hero où là on a mixé avec des petites platines... Et moi je chantais des chansons.
Quentin Mosimann : C'était prémonitoire comme truc.



Qu'est-ce que ce single annonce pour chacun d'entre vous ? Il y aura un album pour les deux qui aura ce titre en commun ?
Sheryfa Luna : Alors ça annonce déjà la sortie du troisième album de Quentin et moi ça lance aussi ma nouvelle image puisque ce n'est pas forcément dans ce style qu'on me trouvait avant, c'était plus pop urbaine. Aujourd'hui je me dirige vraiment dans cette direction électro, avec des messages positifs et quelque chose de plus dansant. Moi je vais rentrer en studio très bientôt pour un quatrième album dans cette direction.
Quentin Mosimann : Tout s'est fait assez naturellement, parce qu'on est les deux seuls artistes signés sur le label USM, qui est un label résolument dance et urbain dans le sens électro et ils ont eu aussi des projets R&B. Sheryfa est issue de ce style-là et moi plus de l'électro, et c'était excitant de pouvoir justement créer un mariage un peu à l'instar de ce qu'il se passe aujourd'hui. On voit beaucoup d'artistes électro faire des featuring avec des artistes urbains. Et chacun de notre côté on avance dans cette direction et on aura tous les deux un album qui va sortir je pense à la fin de l'année ou début d'année prochaine.
Sheryfa Luna : Voilà donc on a tous les deux année chargée ! Et un nouveau départ. En fait pour tous les deux c'est vraiment, artistiquement, un nouveau départ en fait.

Sheryfa, l'année dernière on s'est parlé pour ton album précédent, tu me disais "l'électro je ne suis pas fan, je ne ferais jamais un truc parce que c'est le moment"...
Sheryfa Luna : Effectivement l'année dernière quand ça venait d'arriver, je n'ai pas voulu en faire. J'étais en studio au moment où c'était le truc, où tout le monde le faisait. A ce moment-là, je n'en avais pas envie. Je n'ai pas envie de faire les choses juste parce que on me dit "fais ça". Maintenant aujourd'hui, j'ai décidé de le faire. Et puis l'an dernier j'étais aussi dans une certaine période dans ma vie, parce que ma musique est très adaptée aux périodes de ma vie. La période où j'ai sorti mon troisième album, j'étais vraiment dans ce côté mélancolique, encore avec un côté R&B. Et c'est vrai que j'ai grandi, j'ai évolué, ma vie a beaucoup changé et j'avais envie de changer de message. Voilà, je me suis dit que j'avais envie de quelque chose de positif, quelque chose où j'ai envie de danser, d'avoir une image glamour. Je pense que ça c'est le bon créneau en fait. Et du coup j'ai changé de label et USM est pour moi le label qui va faire le projet au mieux, puisqu'ils sont vraiment spécialisés sur ce style de musique.
Quentin Mosimann : Après, le mot électro est très fort. C'est de la dance. C'est ni plus ni moins que de la disco en 2011. Les gens ont tendance à oublier dès qu'on commence à parler d'électro... Moi je produis de l'électro à côté pour les clubs, pour les artistes, pour des gens comme les Earth Shakers, des producteurs allemands, des trucs pointus qui sont pour le coup réellement électro. Là ce dont on parle réellement, on parle de dance. La dance elle a des tendances pop, des tendances house, elle peut avoir des tendances R&B aussi.
Sheryfa Luna : Mais on voit Rihanna par exemple, qui a des influences électro avec une vraie base quand même hip-hop, urbaine. Et moi c'est vraiment ce que j'aime en fait. Ce côté tendance, en même temps, en gardant vraiment les influences de base.
Quentin Mosimann : En gros on part pas sur une accroche genre, "Sheryfa passe à l'électro".
Sheryfa Luna : Non mais, je pense que pour moi c'est vraiment le moment de partir dans cette direction. Je suis dans une phase où j'ai besoin de ça et j'ai envie de danser, bouger et m'éclater.



Sheryfa, pour l'album précédent ça été un petit plus compliqué que ceux d'avant. Quel bilan tires-tu ?
Sheryfa Luna : Malgré tout, même si ça été moins... ça n'a pas été un succès fulgurant comme les deux précédents, je reste quand même très fière d'avoir fait un disque d'or. Vu la situation actuelle, je suis juste fière de me dire "j'ai fait trois albums et j'ai eu trois trophées" sur des disques de platine ou un disque d'or. Donc je ne pense pas que ce soit vraiment un échec . Pourquoi ce n'est pas un échec ? Parce que faire un disque d'or avec zéro pub et zéro promo, je trouve ça quand même pas mal. Donc je n'ai pas envie de me dire que ça été raté. Je pense que c'était moins fort effectivement, mais c'est quand même une réussite.

Pas de pub, pas de promo, pourquoi ça c'est passé comme ça ?
Sheryfa Luna : Ce qui c'est passé c'est que l'entente avec la maison de disque était plus idéale par rapport au début. Du coup tout simplement, aujourd'hui je ne suis pas du tout en guerre avec Mercury, on est vraiment en bonne entente. Je pense qu'on est arrivés au bout de ce qu'on pouvait faire ensemble. Moi je voulais partir dans une direction où je pense eux, ne travaillent pas ce style de musique. Donc c'était intelligent du coup d'aller chez USM qui allait vraiment faire le projet à fond. Parce que c'était vraiment leur style et leur travail de travailler l'électro, la dance etc... Après je ne sais pas exactement pourquoi, comment. Peut-être aussi que ça s'essouflait un petit peu.

Ça ne te frustre pas trop en tant qu'artiste de livrer un album et de n'avoir que deux singles ?
Sheryfa Luna : Si, il y a eu une déception, ça c'est sûr qu'il y a eu une déception parce que je trouve vraiment malgré tout, cet album est vraiment, vraiment très bien. Le troisième album est pour moi un album très très abouti par rapport aux autres où vraiment j'y avais mis du coeur. Parce que j'avais écrit des paroles, j'ai mis beaucoup de temps. Donc quand j'écoute cet album, je me dis... Non, même si il n'a pas marché, je suis fière de cet album, c'est un bon album. Maintenant il n'a pas été exploité comme il faut, tant pis ce n'est pas grave. J'ai la chance aujourd'hui de pouvoir encore faire un quatrième album et c'est une chance. Donc je fonce et je fais ce que j'ai envie de faire maintenant.



Même question pour toi Quentin, quel bilan tires-tu de l'exploitation de ton dernier album ?
Quentin Mosimann : Tout pareil ! Non, pour moi je ne suis pas au même niveau que Sheryfa. C'est plus récent comme histoire en termes d'albums. Le premier album avait très très bien fonctionné. Le deuxième album, "Exhibition", c'est allé tellement vite en termes de tournée, on a enchaîné deux tournées à la suite. Il a fallu qu'on monte une deuxième tournée parce que il y avait une vraie demande par rapport aux dates. Et là c'est drôle parce qu'on ne s'est pas concertés Sheryfa et moi pour faire l'interview, mais je te dirais aussi "sans promo, sans aide réelle de mon ancien label", on a eu la chance de partir en tournée sur quarante-cinq dates, de pouvoir faire deux Olympia complets, de pouvoir garder la tête hors de l'eau. Après c'est vrai que moi je n'ai pas vécu un succès fulgurant avec "Exhibition".

Mais tu compenses avec cette carrière de DJ, en dehors des bacs...
Oui et ce qui était aussi paradoxal, c'était que chaque titre que je produisais à côté dans l'électro en progressif ou dans les choses un peu plus minimales, direct j'étais joué par les DJs, j'étais plébiscité sur les radios à l'étranger où sur les grosses radios comme Fun Radio. Je me suis dit à un moment donné "faut qu'on trace". Tu sais, je n'ai pas honte de le dire, c'est récent, ça ne fait pas deux ans que ça marche vraiment pour moi et il faut prendre le temps d'apprendre. Ça paraît bête comme ça, mais on n'arrive pas dans ce métier la tête haute, pleine de prétention en disant "ouais c'est bon les mecs on va gérer le truc, il n'y a pas de souci". Il faut accepter de faire des erreurs et accepter de se dire "OK, on va mettre sa fierté de côté, on va apprendre un petit peu" et puis on apprend beaucoup de ses erreurs. Pour le coup, là je pense avoir vraiment trouvé ma voix. J'ai commencé par l'électro quand j'avais 16 ans à produire des choses à droite à gauche. Et par la suite seulement, il y a eu les émissions de télé, la fameuse émission de télé...



Pourquoi tu dis "la fameuse émission de télé" ?
Quentin Mosimann : Parce que tu sais, ça fait très...
Sheryfa Luna : On est totalement à l'inverse tous les deux sur notre façon de penser là-dessus en fait.
Quentin Mosimann : Ce n'est pas que je n'assume pas le truc, la Star Ac ça été super, j'ai vécu le truc à fond et tout mais j'ai l'impression qu'il y a une période de validité. Genre, à un moment donné... C'est bon, on a vécu, on a vécu le truc. Ça va quoi. Ce n'est pas que je ne l'assume pas, c'est juste que je ne le revendique pas. C'est bon, c'est passé, une autre histoire a commencé.
Sheryfa Luna : Moi tu vois j'ai tendance à aimer parler du fait que j'ai fait Popstars. Même si ça été difficile, et qu'il y a eu des passages compliqués par rapport à cette émission, c'était aussi des super bons moments. Je suis partie de là, si je n'avais pas gagné cette émission je serais peut-être nulle part, je ne serais pas là à vous parler. C'est pour ça que ça ne me gêne pas du moins de revendiquer que je peux venir de Popstars. Après la différence je pense qu'il y a eu, c'est que on ne m'a pas très longtemps parlé de Popstars. Voilà, contrairement à toi où on t'en a peut-être plus parlé.

Il y avait beaucoup moins d'exposition aussi pour Popstars que la Star Ac
Quentin Mosimann : Oui voilà, c'est une histoire d'exposition. C'est du business après je n'y connais pas grand chose mais ça doit être quelque chose, ça doit être des parts de marché à trois quatre millions sur les finales pour M6 quand sur les émissions de TF1, la Star Ac, on est à presque douze millions des fois sur la finale. Et puis tu es dans le salon des gens, 24h/24, c'est quatre mois. Et donc pendant deux ans il faut se battre. Alors c'est cool, si on commence sur ce sujet-là, j'adore en discuter, j'adore parler de l'expérience, ça m'a apporté des tonnes de choses. C'est super si tu veux. Après, quand j'ai fait le casting, mes potes d'électro me disaient "t'es ouf, ça ne va pas ou quoi ? Tu ne vas pas faire ça ?". Je leur ai dit "ça m'intéresse, j'ai envie de savoir, j'ai envie de vivre le truc". Au moins pour voir quoi. Mais non c'est une super expérience.



Est-ce que tu as l'impression que ton nom et ton image sont un obstacle pour toi en tant qu'artiste pop ?
Quentin Mosimann : Je ne suis pas un artiste pop pour le coup. Tu sais j'ai voulu faire confiance aussi à la maison de disques. Le premier album c'était un album de reprises de jazz et d'électro, donc pour le deuxième on s'est dit qu'on allait essayer de faire un condensé et puis que ça allait cartonner. C'est à dire un condensé, un truc qui ressemblait un peu à un mix de jazz électro-ifié, un peu à la Gotan Project. Et non, ce n'est pas ça le truc. Moi je suis un DJ qui produis de l'électro, j'en ai la conviction et j'en suis sûr que c'est ma vocation et c'est ce que j'aime. Même au niveau du public et au niveau des dates, en une année, c'est plus de cent dates en clubs à travers le monde, c'est même pas la France en fait. J'ai la chance de pouvoir voyager grâce à ça. Du coup, c'est ce que j'aime.

Donc là vous êtes dans le processus chacun d'enregistrer un nouvel album. Où en êtes-vous justement de ces projets respectifs ?
Sheryfa Luna : Pour le moment je ne suis pas encore entrée en studio. Là on est en plein dans la recherche de l'idée, de l'image. On est vraiment dans la recherche de ce qu'on va faire parce qu'il faut vraiment que ce projet on le réfléchisse. Il faut être très pointilleux sur tous les détails, du coup on recherche l'univers. On travaille avec des auteurs, on reçoit des titres, on écrit. Là c'est en phase de réflexion donc je pense que d'ici un petit mois je vais rentrer en studio et après il n'y a pas vraiment de date de sortie. Je ne vais pas dire que je vais sortir un album cette année, je vais laisser un peu vivre cet album, vivre le temps en studio et on verra. Peut-être que dans trois mois il sera prêt comme l'année prochaine.
Quentin Mosimann : Moi je travaille seul et assez vite dans les avions, dans les trains. Dès que j'ai une idée je la pose tout de suite. J'ai tellement pris ça comme une opportunité de folie de pouvoir signer... J'étais tellement heureux que je suis arrivé au premier rendez-vous et j'ai dit "voilà, j'ai douze titres, ils sont prêts. C'est quand vous voulez les mecs. On signe direct". Bon, ils m'ont calmé un petit peu (rires). Mais moi c'est sans arrêt. Oui, c'est prêt. J'attends. J'attends et puis on va commencer à enregistrer. Les maquettes sont prêtes.



On a parlé de Shy'm en début d'année pour représenter l'Eurovision. Est-ce que vous vous verriez représenter la France ?
Sheryfa Luna : Je n'y ai jamais réfléchi en fait. Je n'y ai jamais pensé. Par contre Shy'm à l'Eurovision je l'aurai bien vue. Mais après je ne me suis jamais dit "tiens, si je faisais l'Eurovision". Mais je pense que si on me proposait, j'y réfléchirais, ce ne serait pas un non catégorique. Je trouve que c'est une fierté de représenter la France.

Vous avez entendu le titre d'Amaury Vassili qui va nous représenter cette année ?
Sheryfa Luna : Non, mais j'aime beaucoup. Amaury, tu sais celui qui chante...(reprise de l'air). Il est génial. Il est super.
Quentin Mosimann : Et pour la petite histoire, moi j'ai failli le faire l'année dernière.

Et finalement ça ne c'est pas fait pour quelles raisons ?
Quentin Mosimann : Ils voulaient quelque chose de plus urbain. Je leur ai dit "mais qu'est-ce qu'il y a de plus urbain que l'électro ?"
Sheryfa Luna : Du coup ils ont vraiment été sur...
Quentin Mosimann : Non, mais ils ont cartonné avec ça. C'est super, tant mieux.
Sheryfa Luna : Non mais c'est bien ça donne un petit coup de neuf à l'Eurovision.



Toujours dans les expériences un peu hors de la musique, Danse avec les stars vient de se finir sur TF1. Est-ce qu'on vous a contacté et est-ce que ça vous aurait intéressé ?
Sheryfa Luna : On m'a contactée pour Danse avec les stars. Tout était prêt, et au final infection du rein. Donc immobilisée et j'ai été remplacée par quelqu'un d'autre. Dommage. Mais peut-être l'année prochaine. J'adore danser donc ça aurait été un vrai plaisir pour moi de le faire. J'aurais pris beaucoup de plaisir à apprendre la danse.
Quentin Mosimann : Moi je suis un piètre danseur pour le coup.

Et justement l'idée d'apprendre à danser, d'être forcé à danser pour une compétition...
Quentin Mosimann : Ouais, mais il faut dire que la seule chorégraphie que j'ai dû faire en trois ans, j'ai vraiment mis trois semaines pour l'apprendre. Et c'était, quand tu vois les images... c'était rien ! Je n'ai aucune faculté d'associer des mouvements. Si tu veux ça va quand je mixe en club, c'est pas moi qui parle, c'est mon corps qui parle. Je crois que je suis bien trop mauvais pour ça.

Qu'est-ce que vous ne feriez pas alors ?
Sheryfa Luna : La Ferme célébrités je ne le ferais pas ça c'est sûr !

Il n'y en aura plus de toute façons !
Sheryfa Luna : Oui mais bon si ça ressortait ! (rires) Ne m'appelez pas ! Non parce que j'ai un peu de mal avec les bêtes. Quand j'ai vu le dernier, je regardais un petit peu, avec Mickael Vendetta qui me faisait bien rire. Les serpents et tout ce n'est juste pas possible ! Tout ce qui est avec les bêtes je ne peux pas. Ce n'est pas l'émission elle-même, c'est les bêtes.

Tu as fait Fort Boyard ?
Sheryfa Luna : Ah non non jamais ! (Rires) Je ne peux pas en fait, j'ai une vraie phobie des bêtes. La danse, le sport ça ne me dérange pas mais pas les trucs avec des bêtes. Ne me faîtes pas de farces, genre Surprise sur prise ! Pas ça.
Quentin Mosimann : Moi j'ai failli faire Fort Boyard, mais je l'admets je me suis défilé au dernier moment.

Tu avais peur de sauter dans le vide en y allant ?
Quentin Mosimann : Oui et puis parce que vis-à-vis de la prod, s'il fallait que j'assure les dates autour. Enfin je ne me voyais pas faire Fort Boyard, j'avais un peu peur je crois. Et puis moi je suis devenu, je ne suis pas devenu hermétique à la télé, mais je n'ai pas trop le temps en fait.

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