Difficile de faire plus fort qu'"Emily in Paris", et pourtant. Détrônée par surprise par la série mexicaine "Accidente", la première partie de la saison 3 de la série culte de Netflix est désormais reléguée en troisième position des contenus les plus regardés sur la plateforme. Selon les données du site Flixpatrol, la série portée par Lily Collins arrive à la première place du classement dans seulement 2 pays. C'est donc une nouvelle série documentaire qui se hisse au top du classement, arrivant à la première place dans 28 pays à travers le monde. Une nouveauté qui plaît particulièrement aux pays anglo-saxons, puisqu'elle est numéro 1 aux États-Unis, Canada, au Royaume-Uni et en Australie.
Mais quel est donc son secret ? Il s'agit de "Worst ex Ever", ou 'Les Ex de l'enfer' en français. En quatre épisodes, cette docu-série addictive raconte "des récits de trahison, de violence et de tromperie encore plus déments", peut-on lire dans le résumé. "Composé de témoignages fascinants, d'images de caméra-piéton et de reconstitutions animées, 'Les Ex de l'enfer' révèle les histoires dérangeantes de relations monstrueuses", explique Netflix. Déconseillée aux âmes sensibles, cette série de "true crime" revient ainsi sur quatre histoires différentes de violences conjugales aux États-Unis, entre abus psychologiques et physiques, à travers des entretiens avec les survivants, les familles des victimes et des enquêteurs.
Le premier épisode raconte ainsi l'histoire de Justine et son copain Benjamin Foster, poursuivi par la police de l'Oregon pendant deux mois. Le deuxième retrace le récit de Seemona, propriétaire d'une petite entreprise à New York, qui noue une relation amoureuse avec le policier Jerry Ramrattan, qui transforme sa vie en cauchemar. Le troisième revient sur l'histoire d'Eric. Son épouse Rosa Hill et sa mère avaient monté un plan machiavélique pour gagner le droit exclusif de garde de leur enfant. Enfin, l'épisode 4 revient sur le destin tragique d'Amanda, victime de la violence psychologique et physique de son compagnon Kevin Lewis.