Interview
Nonce Paolini : "Il ne suffit pas d'être N°1 en audience, il faut aussi l'être dans le coeur des Français"
Publié le 18 juin 2013 à 10:00
Par Julien Lalande
A l'occasion des résultats des "TV Notes", le PDG de TF1 a accordé une longue interview à puremedias.com. Au sommaire : un bilan de la saison, les nouveautés à venir, les nouveaux acteurs beIN Sport et D8 ou encore la fiction française et américaine.
Nonce Paolini, le PDG de TF1 Nonce Paolini, le PDG de TF1© Abaca
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Pour la première fois, les internautes ont désigné TF1 comme la chaîne de la saison lors de notre enquête des "TV Notes". L'occasion d'interroger Nonce Paolini sur la stratégie de son groupe mais aussi sur toute l'actualité du PAF, des montées en puissance de D8 et beIN Sport aux réflexions sur la fiction française.

Propos recueillis par Julien Lalande

puremedias.com : Après 465.000 votes, les internautes de RTL, "20 Minutes" et puremedias.com ont élu TF1 "Chaîne historique de la saison". J'imagine que vous êtes satisfait...

Nonce Paolini : En effet, cela fait plaisir de remporter ce prix parce qu'il ne suffit pas d'être N°1 en audience, il faut aussi l'être dans le coeur des Français. C'est en tout cas l'un de nos objectifs et cette distinction est un signe encourageant.

"Nous avons lancé plus de nouveautés que n'importe qui"

Comment analysez-vous cette remontée dans ce sondage, alors que vous étiez devancé par M6 ces deux dernières années ?

Nous avons changé beaucoup de choses ces derniers mois sur TF1. Nous avons lancé plus de nouveautés que n'importe qui, 18 précisément ces derniers mois. Ces nouveautés ont été des succès. On oublie – parce que le monde médiatique va très vite – que "The Voice" n'en est qu'à sa deuxième saison, comme "Après le 20h, c'est Canteloup" ou "Nos chers voisins", ou que "Danse avec les stars" n'en est qu'à sa troisième saison. "Vendredi, tout est permis" n'a que quelques mois. Et je pourrais continuer la liste de ces programmes qui n'en sont qu'à leurs débuts et qui ont un point commun, me semble-t-il, c'est qu'ils sont orientés vers l'optimisme. Il y a aussi pas mal d'impertinence et de déconne. On a désormais des émissions qui ne se prennent pas au sérieux. Ca rend TF1 d'autant plus sympathique.

Après 7 ans de baisse d'audience ininterrompue, TF1 a regagné du terrain ces derniers mois, contrairement à France 2 et France 3 qui continuent de chuter. La baisse est enrayée ?

Il y a eu une érosion de l'audience, c'est vrai. C'était naturel. Lorsque vous multipliez les chaînes, classiquement, c'est le leader qui chute en premier. Nous, nous avons analysé, on s'est battus pour innover et changer pas mal de choses. Nous avions des marques vieillissantes, on les a remplacées. C'est un long mouvement. Aujourd'hui, le public vient de manière plus régulière sur TF1 et nous restons N°1 dans tous les genres de programmes.

Parmi les bons points, il y a le 20H semaine qui est reparti à la hausse, gagnant près de 300.000 téléspectateurs en l'espace d'une saison. Au-delà de la nouvelle formule, est-ce qu'il y a eu un effet autour du nouveau présentateur ?

C'est difficile de démêler les bonnes et les mauvaises raisons qui font d'un programme un succès. C'est vrai que le printemps 2012 ne nous a pas été favorable, nous n'avons pas été les meilleurs, même si nous sommes restés quand même devant France 2. Mais c'est vrai qu'ils nous avaient rattrapés, ils ont très bien travaillé. Après avoir dit cela, je pense que la révision éditoriale est un facteur clef de la remontée du journal. On est passé d'un enfilage de sujets qui visait à l'exhaustivité à des partis pris. On fait apparaître des experts de la rédaction en plateau également. C'est de plus en plus une équipe. Deuxième point : Gilles Bouleau. On s'est dit qu'aujourd'hui, le sérieux l'emporte. Il fallait mettre quelqu'un qui soit issu la rédaction et qui ait suffisamment de professionnalisme pour être perçu comme étant quelqu'un de crédible. C'est ce qui s'est passé.

"Il y a eu une campagne qui désignait Laurence (Ferrari) comme une usurpatrice"

La presse a beaucoup parlé d'un problème Laurence Ferrari. Pour vous, il n'y en a jamais eu ?

A son arrivée, malheureusement, il y a eu une campagne qui désignait Laurence comme une usurpatrice. Une campagne lancée par un journaliste bien connu... (PPDA, NDLR) Et Laurence n'a cessé pendant toute cette période de subir un harcèlement quotidien de la presse qui regardait sa coiffure, ses vêtements, ses audiences, ses lancements... Ce que je peux dire, c'est que Laurence est une très bonne journaliste qui s'est battue dans un contexte qui nous a été très défavorable, avec beaucoup de suspicion autour de sa nomination. Bref, beaucoup de choses désagréables et très injustes. Après, le poids des critiques ne peut pas laisser le public insensible. J'ai été content qu'elle vienne ici, elle s'est bien battue, courageusement. Ensuite, elle a préféré partir sur D8, c'est son choix et je l'ai respecté. Mais au fond, cela a provoqué une opportunité pour faire un choix différent.

Un des chantiers en cours de TF1, c'est la fiction française qui, comme sur les autres chaînes, peine à aller chercher les moins de 50 ans. Quelles sont les solutions pour aller chercher les jeunes ?

C'est un grand enjeu pour nous puisque nous considérons que la fiction française fait partie de l'ADN de TF1. En France, contrairement à certains de nos voisins, la fiction locale réalise des audiences moins fortes que les séries américaines. Elle est généralement regardée par les plus de 45 ans. Pour élargir l'audience de nos fictions, nous devons travailler avec les producteurs et les auteurs pour trouver des histoires et des personnages qui soient attachants, comme à la grande époque de "Navarro" et "Julie Lescaut". En outre, il y a des producteurs comme Alain Goldman et Luc Besson qui savent s'adresser à un public plus large. En série policière, on se débrouille plutôt bien. Là où c'est plus compliqué, c'est sur la comédie. C'est sans doute le genre le plus difficile. Je note enfin que nous avons réussi à fédérer toute la famille sur plusieurs de nos formats, tels "Clem", "Joséphine, ange gardien", "Profilage" ou encore "No limit".

"S'il y a une surpondération de la fiction américaine sur TF1, nous, c'est uniquement l'été. D'autres font ça toute l'année"

A propos des séries américaines, vous allez programmer cet été 5 soirées dédiées à des séries venues des Etats-Unis. TF1 n'est-elle pas trop dépendante de la fiction US ?

Non. Tous les genres sont représentés dans notre grille des programmes. S'il y a une surpondération de la fiction américaine sur TF1, nous, c'est uniquement l'été. D'autres font ça toute l'année, si vous voyez de qui je veux parler... (M6, NDLR) L'été, c'est un moment de détente où les Français consomment la télé différemment. C'est une période où la grille peut être allégée même si on a des programmes originaux, comme "Secret Story". Dès qu'on arrivera en septembre, notre grille retrouvera la rythmique qu'on lui connaît.

N'est-ce pas également une façon de baisser le coût de grille ?

L'été est une période où les recettes publicitaires sont faibles. En gros, deux mois d'été valent un mois normal. Evidemment, le coût de grille doit être géré de manière intelligente.

"L'audiovisuel n'est pas un îlot de prospérité au milieu d'un contexte économique mauvais"

Ces derniers jours, la presse a évoqué votre décision d'opérer de nouvelles économies...

Je sais bien qu'on m'a brocardé à propos d'une intervention que j'ai faite il y a quelques jours auprès de mes collaborateurs sur la gestion de l'entreprise. Mais il faut que tout le monde comprenne que l'audiovisuel n'est pas un îlot de prospérité au milieu d'un contexte économique global qui est mauvais. On subit tous les effets de la mauvaise situation économique du moment. On est obligé d'en tirer des conclusions. Mais, évidemment, les programmes ne doivent pas subir de coupes sombres qui n'ont d'ailleurs pas lieu d'être.

"D8, c'est Hanouna, Hanouna, Hanouna"

Un des événements de la saison, c'est l'entrée de Canal+ sur le marché de la télévision gratuite généraliste. D8 a beaucoup progressé depuis sa relance, notamment en fin de journée. C'est un concurrent que vous redoutez à moyen terme ?

Canal+ sait faire de la télévision. Qu'ils réussissent à faire progresser l'audience de D8, c'était prévisible. Aujourd'hui, qu'est-ce qu'on peut observer ? D8, c'est Hanouna, Hanouna, Hanouna. Je ne suis pas sûr que "Popstars" et "Amazing Race" soient des succès exceptionnels. "Le Grand 8", n'en parlons pas... La grille de D8, c'est Hanouna, "Navarro", des films, des magazines... L'innovation, ce n'est pas simple. D8 est en devenir. Je pense que Canal+ investit beaucoup dans la grille de D8, beaucoup plus qu'on en met dans TMC par exemple, pour des scores qui ne sont pas fondamentalement supérieurs.

A propos de la TNT, est-ce que, selon vous, il faut s'attendre à de nouvelles concentrations ?

Ce qui est clair, c'est que les gouvernements successifs ont commis des erreurs majeures. Au fond, on avait un secteur de la télévision en France qui marchait bien, où les entreprises étaient prospères, avec un nombre limité de chaînes. On aurait pu choisir – comme c'est le cas chez nos voisins européens – d'augmenter la diversité des chaînes en demandant aux historiques de faire leur travail d'entrepreneur. En France, sous couvert du pluralisme des courants d'expression, on a ouvert la porte à des nouveaux entrants. On est donc parti d'un secteur florissant, avec des entreprises (y compris publiques) qui se portaient bien, pour créer un secteur où les équilibres économiques sont aujourd'hui bien plus fragiles. Alors, est-ce que demain il y aura une nouvelle concentration ? D'abord, il faudrait que ça soit dans la philosophie des pouvoirs publics. Ensuite, il faudrait que ça soit matériellement possible. Le fait que, par exemple, on soit limité à sept fréquences sur la TNT pour un même groupe nous empêche d'acquérir une nouvelle chaîne. Au final, je pense qu'il faut éviter les gens de passage, ces opérateurs qui ont fait un dumping incroyable en revendant leur fréquence à prix d'or.

Est-ce que vous militez pour une augmentation du nombre de fréquences maximales autorisées pour un même opérateur ?

C'est très prématuré de parler de tout ça. Le gouvernement est très occupé sur la réforme du Conseil supérieur de l'audiovisuel. Aujourd'hui, on travaille plutôt avec le gouvernement sur le dossier de la fiction française.

Malgré un premier refus du CSA, M6 milite toujours pour sa chaîne de télé-achat et le transfert de Paris Première sur la TNT gratuite. TF1 avait des projets similaires : une chaîne de télé-achat et le transfert de LCI. Ces dossiers sont toujours d'actualité ?

D'abord, s'agissant de M6, je rappelle que Paris Première est une chaîne généraliste. J'ai beaucoup entendu dire qu'il ne fallait plus de chaînes généralistes sur la TNT gratuite parce qu'il y en avait trop.

"Je pense que LCI doit tenter le clair"

Vous ne croyez pas en la menace brandie par M6 d'une fermeture de Paris Première ?

C'est une plaisanterie. Tout le monde sait que Paris Première est une chaîne prospère qui réalise de bonnes audiences.

Et en ce qui concerne LCI ?

D'abord, le fait que LCI soit sur la TNT payante n'est pas le fruit d'une erreur stratégique comme je l'ai souvent lu. Il s'agit d'un concours de circonstances juridiques qui est intervenu en 2003/2004, lorsque le Conseil d'Etat a invalidé l'attribution de certains canaux bonus, dont i-TELE. Canal+ avait proposé sa chaîne info sur la TNT payante, comme LCI. Après l'invalidation, Canal l'a proposée sur la TNT gratuite. Nous, nous ne pouvions plus changer. Pour l'avenir, LCI est financée jusqu'à fin 2014. Qu'est-ce que nous ferons après ? Honnêtement, je pense qu'il faut tenter le clair. On ne peut pas me dire, lors du lancement de la TNT, que le pluralisme est très important et me refuser le passage de LCI au clair parce qu'il y a déjà deux chaînes info. Il y a beaucoup de radio qui font de l'info en France ; on n'a pourtant pas limité leur nombre ! Si LCI passe en clair, ce sera que le meilleur gagne. C'est ça la compétition. Si BFM et i-TELE sont meilleures, on en tirera les conséquences.

Il y a tout de même des obstacles juridiques à ce passage en clair...

Oui, pour l'heure, ce n'est pas possible. Sous réserves de modifications à venir auxquelles, je crois, le CSA est très attaché.

Et concernant votre chaîne de télé-achat ?

C'est un joli projet qui s'appelle Tendances 24. Le CSA ne l'a pas retenu. Pour moi, ce n'est pas une chaîne de contenus donc ça ne devrait pas être considéré comme une fréquence comme les autres. On pourra peut-être même la louer par exemple. On reste attaché à ce projet qui donne sa chance aux PME françaises (le projet prévoit de vendre des produits issus de ces entreprises, NDLR) et qui permettrait de créer plusieurs centaines d'emplois.

"Les ayants droit de certaines compétitions sportives ont fait le choix du chiffre d'affaires plutôt que de l'audience"

L'autre événement de la saison, c'est la montée en puissance de beIN Sport sur les droits sportifs qui a provoqué, indirectement au moins, le transfert de la Ligue des champions et de la F1 sur le payant. Est-ce que vous vous considérez comme victime de la chaîne qatarie ?

Non, absolument pas. Ces compétitions sont des évènements récurrents dont on a pu observer, ces dernières années, que la baisse d'audience était régulière et, pour tout dire, inéluctable. Ces deux contrats étaient très déficitaires. Nous avons dit aux ayants droit qu'il n'était pas possible de payer autant qu'auparavant ; ils ont fait le choix du chiffre d'affaires plutôt que celui de l'audience. C'est leur décision. Il faut qu'à un moment donné, les ayants droit comprennent qu'on ne peut plus proposer des sommes que nous proposions lorsque TF1 était en croissance dans un marché à six chaînes.

Dans ces conditions, est-il inéluctable que d'autres compétitions rejoignent le payant ?

C'est une question d'argent. J'ai compris que Roland Garros envisage d'augmenter ses recettes et, donc, de faire un mix payant/gratuit. C'est peut-être un signe des temps. En tout cas, nous diffuserons le Mondial 2014 de football, le Mondial 2015 de rugby et, en 2016, nous co-diffuserons l'Euro avec M6.

Vous êtes intéressés par les droits gratuits de Roland Garros ?

A priori, ce n'est pas une compétition pour notre chaîne pour des questions de programmation. Nous avons besoin de connaître précisément la programmation des matchs. Que fait-on si des rencontres sont annulées à cause de la météo, si un match dure plus de 5 heures ? C'est très compliqué.

Vous envisagez, comme par le passé, de revendre une partie des droits des Coupes du Monde FIFA ?

Oui, on a une réflexion sur ce sujet. On peut partager les droits avec de la pay tv ou de la télévision en clair, puisqu'on ne retransmettra pas tous les matchs.

"Nous subventionnons nos concurrents" avec certaines de nos anciennes fictions françaises

Revenons sur la fiction française. Est-ce que vous militez, vous aussi, pour une évolution de la législation concernant les droits du diffuseur ?

Aujourd'hui, par exemple, "Navarro" ou "Les Cordier" sont deux séries que nous avons intégralement financées. Pourtant, sans que nous ayons eu notre mot à dire, elles font le bonheur de nos concurrents qui captent du chiffre d'affaires. Pourtant, nous ne captons pas le moindre euro. Cela signifie que que nous subventionnons nos concurrents, ce qui n'est pas normal. Cette législation date des années 90, une époque où il y a avait peu d'acteurs et où il fallait protéger les petits producteurs des gros diffuseurs. Celui qui finance n'est propriétaire de rien. Les temps ont changé, il y a beaucoup plus de diffuseurs. Dans ce contexte, partager les droits de propriété avec les diffuseurs est, pour moi, une évidence.

"La fiction française a généré une perte de 80 millions d'euros pour TF1 en 2012"

"Jo", "No limit", "Crossing Lines"... Pourquoi cette tendance à monter des coproductions européennes dans la fiction ?

Aujourd'hui, une fiction française est structurellement déficitaire. En 2012, la fiction française a généré une perte de 80 millions d'euros pour TF1. Il faut donc trouver un nouveau modèle économique. Or, je suis convaincu que si nous avons des intérêts communs avec les producteurs, on pourra faire les meilleurs programmes possibles et notamment les exploiter à l'international. Ce qu'on ne fait pas. Rappelons que sur 800 millions d'euros d'investissements, on exporte seulement 20 millions. C'est le même chiffre qu'en 2000. On n'a pas progressé. Avec "Jo", "Crossing Lines" et "No limit", nous avons vendu ces programmes à l'étranger parce que nous avons réussi à rendre ces offres attrayantes.

Dernière question. Quels seront les enjeux de TF1 la saison prochaine ?

Nous devons continuer à développer et renforcer notre offre pluri-média. Nous sommes un groupe de chaînes qui ont toutes un prolongement sur le digital. C'est le fameux 360° qui nous permet d'avoir une voie de retour avec les téléspectateurs. Concernant les programmes, nous devons continuer d'apporter de la gaieté et de l'audace aux téléspectateurs. Il y aura de nouvelles fictions comme "Falco", de nouveaux jeux, de nouveaux programmes courts comme "Pep's" et de nouveaux divertissements comme "The Best".

Enfin, il faut continuer à donner une substance forte à la relation entre TF1 et son public. Depuis le début de la saison, nous avons réalisé 50 opérations de proximité en province avec nos animateurs pour aller à la rencontre des téléspectateurs, visité 30 lycées avec nos journalistes pour dialoguer avec les plus jeunes et nous organisons cet été notre troisième tournée des plages ! Nous devons continuer à apporter de l'optimisme aux Français.

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