Son côté "mauvais garçon", ou "bad boy" en anglais. C'est ce que nos confrères du magazine Télé Loisirs paru hier ont tenté de découvrir au cours d'une interview à laquelle s'est prêté Stéphane Bern. Finalement, même lorsqu'il essaie de déceler chez lui des côtés obscurs, le célèbre animateur de France 2 semble bien plus proche de l'enfant de choeur. Mais quand Nabilla Benattia lui vient à l'esprit, son élégance légendaire s'envole enfin !
Tentant de repérer la faille qui pourrait faire plier Stéphane Bern, son interlocuteur l'interroge sur un sujet très personnel. Et c'est gagné ! De confession juive, l'animateur avoue après une courte hésitation ne pas du tout être pratiquant. "Depuis que j'ai dix ans, je me considère comme athée. Je ne comprends pas tout ce bin's autour des religions, même si je les respecte. C'est peut-être là mon côté 'bad boy'", confie-t-il.
Stéphane Bern ne suivant pas les pratiques religieuses judaïques, on pourrait alors penser qu'il se laisse parfois aller à certains excès... C'est peine perdue. "Je n'ai jamais fumé de joint. Un jour, à une fête de Canal+ où quelqu'un m'en a tendu un, j'ai cru que l'on me donnait un mégot et je l'ai mis dans le cendrier", s'amuse-t-il avant de préciser : "De la même façon, je n'ai jamais été ivre. Quand je me rends à une soirée avec des princes et qu'ils sont tous torchés, moi, je demande une eau pétillante. C'est mon côté 'bad boy' en fait !"
Et si Stéphane Bern assure aussi ne pas avoir triché pour obtenir son bac scientifique, de surcroît au rattrapage, ce n'est pas pour autant qu'il n'a jamais transgressé les règles. "Si j'ai accédé à une terminale C (filière scientifique à l'époque, NDLR) c'est parce que j'avais beaucoup triché aux interros écrites", révèle-t-il.
Lorsqu'il prend le temps de regarder la télévision, le passionné de lettres et de têtes couronnées peut se montrer parfois violent ! Mais à sa façon. S'il affirme ne pas se fâcher au point de casser sa télé lorsqu'il entend un journaliste maltraiter la langue française, Stéphane Bern profite d'être interrogé pour dire tout le bien qu'il pense de Nabilla. "Prenez l'exemple de ces gens des Anges de la téléréalité : on les glorifie, mais il faut voir ce qu'ils sortent comme idioties. Nabilla qui parle de 'la guerre mondiale de 1978', d'une 'aiguille sous le rocher'. Ils réinventent même des expressions : 'Il ne faut pas mélanger les torchons et le Sopalin'. C'est n'importe quoi ! On médiatise des gens qui n'ont rien fait à part dire des c*** en se promenant en string !", fustige-t-il.