Nabilla revient et règle ses comptes. Ce jeudi, la starlette fait son retour en librairies avec son autobiographie "Trop vite" (éd. Robert Laffont). A l'occasion, la jeune femme a entamé une grande tournée promotionnelle, qu'il s'agisse de presse écrite ("20 Minutes", "Le Journal du Dimanche", "Télé Loisirs"), de radio (RTL, Europe 1) mais aussi de télévision. Après son interview dans "7 à 8" dimanche sur TF1, elle sera samedi dans "Salut les Terriens" sur Canal+ et mercredi prochain dans "Touche pas à mon poste" sur D8, où elle a été chroniqueuse.
Mais il paraît peu probable de voir Nabilla dans trois rendez-vous phares de Canal+ : "Le Grand Journal", "Le Tube" et "La nouvelle édition". Dans son livre, l'ancienne candidate des "Anges" de NRJ 12 explique avoir eu de mauvaises expériences sur ces trois programmes. Ainsi, si elle a beaucoup apprécié être reçue par Michel Denisot au "Grand Journal", elle garde un mauvais souvenir de son passage au "Supplément . Ce jour-là, Maïtena Biraben avait évoqué son séjour en centre de détention pour mineurs en Suisse.
Après avoir revisité légèrement les faits, ajoutant un ton accusateur aux propos de l'animatrice, Nabilla s'en prend à celle qu'elle renomme... "Maïzena Baratin" ! La nouvelle présenatrice du "Grand Journal" depuis septembre se voit qualifiée de "reine de l'info, cloche à merde, vautour". "T'as trois copains en Suisse, c'est tout", balance celle qui n'est pas plus tendre avec Ariel Wizman qui, lors de son passage dans "La nouvelle édition" en novembre 2013, avait plaisanté sur le fait que Nabilla avait fait toutes les émissions de Canal+ sauf "Le Journal du Hard".
Déjà virulente sur le plateau, Nabilla Benattia enfonce le clou dans son livre à propos de celui qu'elle qualifie de "mec en bout de table, habillé comme un clown, (qui) te regarde en louchant sur ses notes". "Pardon ? T'es qui toi ? Mêle-toi de ta bite. T'as préparé trois blagues pour être repris l'an prochain ?", s'emballe-t-elle. Mais "le pire" à ses yeux reste son passage dans "Le Tube" de Daphné Bürki. "Une toute petite émission sympa, très peu d'audience. Un coin pour parler", écrit-elle. Mais dans un reportage, l'émission avait recontacté le père de la jeune femme, avec qui les liens sont rompus depuis plusieurs années. "La voix de papa est montrée en plateau et m'a foudroyée. Je ne l'avais pas entendue depuis si longtemps. Mon père a dit qu'il avait honte de moi", se souvient-elle.