15.45 l Ce live est terminé, merci de l'avoir suivi.
15.43 l Les journalistes ne peuvent pas accèder à l'équipe de "Charlie Hebdo" pour les interroger. "Pas de journalistes".
15.34 l On aperçoit la communicante Anne Hommel, qui met fin à la conférence de presse. Les intervenants de "Charlie Hebdo" ont déjà quitté les lieux. Seul reste Laurent Joffrin. A défaut d'avoir Luz ou Patrick Pelloux, les journalistes s'interviewent entre eux.
15.32 l Luz n'est pas inquiet pour la prochaine Une de "Charlie Hebdo". "Je n'ai aucune inquiétude. Les gens sont intelligents, toujours plus intelligents qu'on ne le croit. On fait confiance à l'intelligence de l'humour"
15.31 l "Les gens qui ont commis cet attentat sont des gens qui manquent d'humour, de second degré"
15.31 l "Quand vous irez dans un kiosque demain, achetez Charlie mais un autre journal aussi. Bon pas une merde hein, la presse People, hein. Mais si vous achetez la presse on aura vraiment gagné. Si on peut faire vivre le papier, les idées, le dessin, partout dans le monde, on aura vraiment gagné".
15.30 l Luz répond aux questions des journalistes.
15.28 l "Ca fait très longtemps qu'il n'y avait pas eu de manifestations à Paris. Il faut s'exprimer. On est dans un monde compliqué, devenu absurde pour nous. C'est notre boulot de le raconter mais là c'est exponentiel, tout est absurde pour nous"
15.26 l "On va avoir encore une semaine difficile sous le coup de l'émotion. J'espère que vous aussi les journalistes, on est dans l'émotion c'est compliqué. Prendre un peu de recul. C'est pour ça qu'on vous a mis à la porte pendant le bouclage. Ca nous a fait du bien de ne pas vous voir. Maintenant on est plus prêts à vous parler. Mais pas tout à fait."
15.21 l "Notre Mahomet à nous il est vachement plus sympa que celui des terroristes !"
15.21 l "C'était pas la Une que le monde voulait qu'on fasse, mais c'était notre Une. Il y a juste un bonhomme qui pleure. Le Mahomet qu'on a dessiné c'est un bonhomme qui pleure avant tout".
15.20 l "Les terroristes, ils ont été gamins. A un moment donné ils ont perdu leur regard d'enfant pour regarder le monde avec un peu de distance"
15.18 l "J'ai dessiné Mohamet. Je l'ai regardé il était en train de pleurer. Au-dessus, j'ai écrit 'tout est pardonné' et j'ai pleuré". "Mahomet, c'est mon personnage. Il existe quand je le dessine. Un personnage qui nous a valu d'avoir les locaux brûlés. Cela nous a valu d'être traités de dangereux irresponsables. On est surtout des dessinateurs qui aiment dessiner des petits bonhommes"
15.17 l "J'ai convoqué tous les talents".
15.15 l Emotion de Luz, qui prend la parole. "On a essayé de trouver l'inspiration, on a surtout essayé de mettre les dessins des autres".
15.13 l Ce numéro vivra quinze jours en kiosques.
15.11 l 3 traductions numériques (anglais, espagnol, arabe). 2 traductions papier dans un journal italien et turc.
15.10 l "Il fallait trouver quelque chose qui dise quelque chose de nous et de l'événement"
15.09 l Gérard Biard : "On est heureux d'avoir fait ce numéro, d'y être arrivés"
15.06 l L'équipe de "Charlie Hebdo" arrive sous les applaudissements.
15.03 l La salle du dernier étage de "Libération" a bien du mal à accueillir tous les journalistes français et étrangers. Laurent Joffrin, le patron de Libé, est présent. Luz, Patrick Pelloux et l'avocat de "Charlie Hebdo" arrivent.
14.54 l Une trentaine de caméras sont réunies au dernier étage de "Libération".