Marine Le Pen se confie sur ses goûts en matière de télévision à nos confrères de Télé Loisirs. L'occasion notamment d'apprendre que la candidate à la présidentielle a eu "une période 'Télématin' pendant (ses) études de droit" ou encore qu'elle préfère les chaînes de découverte, les magazines sur les animaux et les voyages aux chaîne d'information qui "repassent toujours la même chose".
La présidente du FN avoue également être fan de "Faites entrer l'accusé" - un reliquat de sa carrière d'avocate selon elle, de "Un jour, un destin" et de Stéphane Bern, jugeant que les émissions historiques de ce dernier sont "toujours joliment présentées et intéressantes". En revanche, ne lui parlez pas de "On n'est pas couché" - émission dans laquelle elle refuse d'ailleurs de se rendre. "Laurent Ruquier et ses ricanements, c'est pas possible !", tacle la candidate, lâchant au passage qu'elle ne supporte pas "les programmes qui sont marqués par la vulgarité et les ricanements ininterrompus".
Interrogée sur sa participation à "Une ambition intime", la candidate avoue avoir été "très réticente" et avoir eu peur de "tomber dans un piège". "Je suis quelqu'un qui n'aime pas beaucoup s'étaler sur sa vie privée", reconnaît Marine Le Pen, estimant néanmoins que "les Français ont le droit de savoir" qui elle est. Concernant l'émission de Karine Le Marchand, la présidente du FN avoue avoir été convaincue par l'animatrice et non par le format.
Si elle ne semble pas bien connaître Cyril Hanouna et qu'elle fustige le mépris de Michel Drucker, la candidate à la présidentielle avoue qu'elle regrette "beaucoup" le départ de Julien Lepers de "Question pour un champion". "La guerre qui est menée à ce qui est populaire, que ce soit la personnalité de Julien Lepers ou des magazines comme '30 Millions d'amis', c'est une volonté politique !", se désole la candidate, ciblant une nouvelle fois la direction de France Télévisions.