Depuis plusieurs jours, les abonnés à Netflix crient au loup (garou). Vingt-quatre heures après sa sortie le 23 octobre dernier, la comédie "Loups-garous", tirée du jeu de société s'était hissée au sommet du top des films les plus visionnés sur la plateforme du géant du streaming. Quatre jours plus tard, ce film familial porté par Franck Dubosc et Jean Reno conserve sa place en France, mais aussi dans plusieurs pays européens comme l'Allemagne, l'Italie et la Suède. Mais à l'échelle mondiale, il n'a pas résisté à l'approche d'Halloween et à la dernière sortie très attendue sur la plateforme : "Don't move".
D'ailleurs, les premiers chiffres ne trompent pas puisque le thriller d'épouvante américain a détrôné "Loups-garous" et se classe premier dans 48 contrées, seulement deux jours après sa sortie, le 25 octobre dernier. Américains, Canadiens ou encore Britanniques se sont pressés devant le long-métrage produit par Sam Raimi, l'un des maîtres de l'horreur connu notamment pour la franchise "Evil Dead" ou encore "The Grudge et "30 jours de nuit". Le cinéaste n'est pas à la manoeuvre dans "Don't move", laissant les caméras aux réalisateurs Adam Schindler et Brian Netto, avec qui il a déjà collaboré.
L'histoire nous plonge en plein cœur d'une forêt isolée où Iris, une jeune maman endeuillée et rongée par la culpabilité (Kelsey Asbille Chow), menace de se suicider. Au moment de mettre sa résolution à exécution, elle est stoppée dans son élan par un charmant et mystérieux inconnu nommé Richard (Finn Wittrock), un homme pas si providentiel que ça... S'en une haletante lutte de tous les instants pour sortir de cette situation inextricable. Un concept simple et efficace pour donner quelques bonnes sueurs froides aux fidèles du genre.