La fin de saison des "Traîtres" approche sur M6. Avant cette avant-dernière soirée ce vendredi 20 septembre, les "traîtres" sont encore au nombre de trois : Crazy Sally, Hugo Manos et Laurent Ruquier. Les "loyaux" n'ont pour l'instant éliminé qu'une seule "traître", Frédérique Bel. Alors qui des "loyaux" ou des "traîtres" remportera cette troisième saison du jeu de M6 et pourra offrir ses gains à l'association qu'il/elle représente ? Réponse le 27 septembre, lors des tables rondes finales.
"Ça ne m'intéressait pas d'être 'traître'"
Parmi les "loyaux" encore présents dans l'aventure, on retrouve notamment Studio Danielle, Gwendal Marimoutou ou encore Bruno Solo. Ce dernier, que l'on voit enquêter dans son coin, avait reconnu lors d'une rencontre entre candidats et journalistes en juin dernier s'être mis "dans une position de distance tout au long du tournage", s'imaginant "comme scénariste de l'émission" plutôt que joueur.
L'acteur que l'on a récemment vu dans "Ouija, un été meurtrier", série diffusée sur France 3, avait révélé avoir posé une "condition sine qua non" à sa participation au jeu : "Ne pas être 'traître'". "Ça ne m'intéressait pas. Composer un personnage de tous les instants quand il faut l'improviser, c'est fatigant psychologiquement et physiquement. Je me serais trahi à un moment. Dès lors qu'on baisse la garde, on est plus susceptible d'être pris pour cible", expliquait l'acteur de "Caméra Café".
Celui qui estime que dans ce jeu, "c'est toujours le plus candide qui gagne et celui pétri de certitudes qui chute", avait également demandé à la production quels seraient ses compagnons d'aventure avant d'accepter l'invitation. "J'avais envie de savoir avec qui j'allais être susceptible de vivre une expérience humaine très riche pendant un certain temps", avait-il confié. Verdict ? "Quand on m'a donné le panel de gens qui étaient là, j'ai trouvé qu'il y avait suffisamment de gens intéressants avec qui j'avais envie de passer du temps. Là, tout était réuni pour faire en sorte que j'accepte une émission pareille. Il y a quelque chose d'ethnologique dans ce programme. Je ne regrette pas de l'avoir fait", avait conclu le comédien.
