Un scoop version ORTF. Valérie Trierweiler était l'invitée du 19/20 Paris Île-de-France ce soir. Sa première interview sur un plateau de télévision français depuis le succès de son livre, "Merci pour ce moment". Mais l'ex-première dame n'était pas là pour en parler et encore moins pour revenir sur l'épisode récent de la gifle, pour lequel elle est poursuivie. La journaliste de "Paris Match" venait défendre son action au sein du Secours populaire. Ni plus ni moins. Une interview négociée ?
Le journaliste du 19/20, Jean-Noël Mirande, s'est semble-t-il parfaitement plié aux exigences de son invitée pendant plus de sept minutes. Même après la perche lancée par Valérie Trierweiler : "Les médias s'emparent souvent de polémiques mais sur le terrain, il y a de très belles choses". Bien tenté. "Volontairement, nous avons choisi de ne pas parler de polémique ce soir, enchaîne pourtant le journaliste. La question je ne vous la poserai pas, tout le monde l'a dans la tête, vous réagissez comment face à ces réflexions polémiques autour de votre nom ?".
"C'est difficile, parce que un rien devient un titre d'un journal et il se passe tellement de choses graves dans le monde, je n'arrive pas à comprendre comment on peut monter en épingle des événements qui n'en sont pas", répond Valérie Trierweiler à la question que le journaliste ne veut pas poser. "C'est la raison pour laquelle nous avons décidé de ne pas en parler", acquiesce Jean-Noël Mirande. La principale information de cette interview se nichait dans les détails : la nouvelle couleur de cheveux de l'ex-première dame. Après #Stopàlamuflerie, #Stopauxquestionsquifâchent.