Nicolas Canteloup en remet une couche ! Après un premier tacle vendredi pour sa pré-rentrée, qui a créé un "petit malaise" en studio, l'imitateur a de nouveau évoqué ce matin, à de nombreuses reprises, l'affaire qui a touché cet été son ancien collègue. Imitant d'abord Nicolas Sarkozy, il a menacé Julie Leclerc, qui venait de rappeler que l'ancien président de la République était toujours derrière Alain Juppé dans les sondages d'opinion : "Madame Julie, faites attention tout de même à la prochaine charrette ! Parce que Grossiord, Morandini, Aphatie, Hanouna : j'peux vous dire qu'il est chaud en ce moment le Olivennes !". Ensuite, avec la voix de Laurent Cabrol, il a reconnu que côté trafic, "c'était rouge à Europe 1 dans le sens des départs et vert au niveau des arrivées ! Il n'y a pas de chassé-croisé : tout le monde se barre et personne n'arrive !".
Nicolas Canteloup a ensuite fait intervenir dans sa chronique Denis Olivennes, le grand patron des médias du groupe Lagardère. Imitant son boss, il a présenté les nouveautés de la grille de rentrée d'Europe 1. "Du nouveau à 9h avec le "Grand direct des médias" présenté par Jean-Marc Jouberini. (...) J'essaye de faire passer la pilule discrètement. Mais puisqu'on va me poser la question, je le dis très clairement : il n'y a pas le moindre problème avec Jean-Marc Morandini qui garde toute mon estime et qui va continuer à présenter 'Le Grand Direct des médias' de chez lui", a lancé l'imitateur, reconnaissant avoir de nouveau créé un "petit malaise" dans le studio. Passant à la voix de Christophe Hondelatte, le nouveau venu des matins de la station, il a imaginé l'ancien présentateur de "Faites entrer l'accusé" évoquer dans son émission "l'affaire Morandini".
Enfin, il n'a pas pu s'empêcher d'imiter Jean-Marc Morandini en personne pour finir sa chronique. "Aujourd'hui dans le 'Grand direct des médias de chez moi', je vous expliquerai pourquoi je ne me fais aucun souci quant aux suites judiciaires de cette affaire puisque mes avocats vont réussir à prouver qu'il ne s'agissait pas dans mon téléphone portable de films érotiques montrant des enfants mais, tout simplement, d'une vidéo de Thomas Sotto en train de manger une banane ! C'est vrai qu'il peut y avoir confusion si la qualité de la vidéo n'est pas bonne", a-t-il conclu, provoquant un fou rire dans le studio. puremedias.com vous propose de découvrir cette chronique.