Le retour en enfance dans le grenier, le petit tour au marché du coin, le brunch avec des produits frais... Diffusé sur France 2 depuis octobre 2022, "Un dimanche à la campagne" s'appuie sur des rituels bien ancrés dans la mémoire de ses fidèles téléspectateurs et des personnalités qui se prêtent à l'exercice. Michèle Bernier a répondu par deux fois à l'invitation de Frédéric Lopez et s'est confiée librement sur sa trajectoire qui l'a menée à devenir la comédienne respectée d'aujourd'hui. Mais avant de passer aux confidences, l'ex-jurée de "Mask Singer" n'a pas toujours été à l'aise avec le format de l'émission. Notamment lorsqu'il lui a été demandé de ramer jusqu'à atteindre son havre de paix pour deux jours de déconnexion. "Ça, c'est le truc le pire ! J'ai déjà dit à Frédéric Lopez : 'Arrête avec cette barque, c'est pas possible !' Surtout que moi, j'ai fait la première où on était seul dans la barque", a-t-elle confié à Eric Dussart, dans "On refait la télé" sur RTL.
Pas vraiment à son aide dans cette embarcation, Michèle Bernier a dévoilé que cette séquence d'introduction avait été coupée au montage de sa première participation. "Je monte dans la barque et je rame à l'envers, je ne sais pas ce que j'ai foutu. En fait, je tournais en rond. Sur le bord, il y a je ne sais combien de caméras et au bout d'un moment ils en avaient marre d'attendre, ils ont tous posé les caméras en disant : 'Bon, il faut qu'on aille la chercher parce que là on commencera jamais'", s'est-elle souvenue, hilare. Sa deuxième navigation aux côtés de la chanteuse Sofia Essaïdi et du mentaliste Fabien Olicard ne s'est pas révélée plus glorieuse alors qu'elle est censée aider les trois hôtes à établir des premiers liens, comme l'a rappelé Eric Dussart. "Alors, je ne sais pas si on fait vraiment connaissance", a rigolé l'héroïne de "La Stagiaire", pas vraiment convaincue par l'idée.
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Ce 12 janvier, le rendez-vous dominical de Frédéric Lopez prendra ombrage pour laisser la place à la troisième journée de l'édition 2025 de la Champions Cup de rugby. Une nouvelle déprogrammation au détriment d'un événement sportif à laquelle s'est habitué son présentateur, très pragmatique. "Quand on m'a proposé cette case, on m'a prévenu que l'émission ne serait pas diffusée toutes les semaines à cause du sport", expliquait-il à nos confrères de "Télé-Loisirs". "Ça fait partie du contrat de départ. Au fond, c'est à prendre ou à laisser", avait-t-il ajouté au sujet de ce deal. Des interruptions régulières qui n'empêchent pas "Un dimanche à la campagne" de cartonner.