Arnaud Lagardère a beau adorer s'exposer sur les réseaux sociaux ou à la télévision aux bras de sa jeune compagne, Jade Forest, il ne veut pas que ses journaux cèdent à la peoplisation. Mercredi, le gérant du groupe Lagardère s'est fâché contre les dernières Unes de "Paris Match" et du "Journal du dimanche".
Cette semaine, "Paris Match" a en effet choisi de mettre en couverture la plus médiatique des plumes de sa rédaction. "Valérie Trierweiler poursuit sa vengeance", écrit l'hebdomadaire. "L'Angleterre et l'Italie en font une superstar", ajoute la Une, faisant abstraction des vives critiques exprimées dans ces pays sur le livre "Merci pour ce moment"... Dimanche, le "JDD" titrait sur le "Jeu de dames à l'Elysée", consacrant sa première double page aux "femmes du président". Les articles reviennent sur les photos volées de François Hollande et Julie Gayet prises dans les jardins de l'Elysée et sur la tournée promotionnelle européenne de l'ex-première dame.
Ces choix éditoriaux ont donc fortement déplu à Arnaud Lagardère. Et il a tenu à la faire savoir aux rédactions. Selon Le Figaro, le patron a demandé à Denis Olivennes , le patron de Lagardère Active, la branche médias du groupe, de stopper cette dérive "tabloïd". "J'ai une conception et une ambition différente pour nos journaux", a fait savoir le propriétaire. Olivier Royan, le directeur de la rédaction de "Paris Match", et Jérome Bellay, le directeur du 'JDD", sont prévenus.
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