Les confessions de Nabilla Benattia sont la pièce maîtresse de l'édition de mai du magazine "Lui". La jeune femme, révélée dans "Les Anges de la télé-réalité" de NRJ 12 répond aux questions de Frédéric Beigbeder et évoque sa relation avec Thomas Vergara, son arrivée sur D8 dans l'équipe de Cyril Hanouna ou encore son rapport aux médias et ses projets pour la suite. Nabilla y glisse également qu'elle gagnerait 100.000 euros par mois, grâce à sa marque de vêtements.
A la fin de l'entretien, la bimbo revient aussi sur le dernier épisode de "L'oeuf ou la poule", le jeu de Cyril Hanouna auquel elle a participé avec l'équipe de "Touche pas à mon poste". Un épisode tourné en 2014 mais resté dans les tiroirs de la production plusieurs mois. Finalement diffusé le 9 avril dernier, on voyait notamment la jeune femme se livrer à une battle de pole dance avec Enora Malagré. Un défi gagné haut la main par l'animatrice de "Derrière le poste".
Cette victoire, Nabilla la justifie d'une drôle de façon. Pour elle, sa rivale l'a emporté "parce qu'elle avait plus l'habitude de tenir des barres" qu'elle. Un double-sens un brin provocateur alors que les deux jeunes femmes ont joué les meilleures copines devant les caméras de D8 pendant plusieurs mois.
Une petite pique à laquelle s'ajoute à la question suivante la mise au point de Fréderic Beigbeder, le directeur de la publication de "Lui" depuis 2013. En novembre dernier, Enora Malagré affirmait en effet s'être vue proposer de poser nue en Une du magazine : "C'était un début de proposition, mais j'ai dit non" expliquait-elle à Cyril Hanouna sur le plateau de "Touche pas à mon poste".
"Un mytho complet !" selon Fréderic Beigbeder, qui dément aujourd'hui avoir contacté la jeune femme. "Je suis heureux de pouvoir rétablir la vérité : Enora ne fait pas partie de la longue liste des femmes célèbres qui ont refusé la couverture de 'Lui'", glisse-t-il ainsi. Une petite phrase qui risque de mettre à mal la crédibilité de la Bretonne, déjà accusée d'avoir menti après des déclarations sur Christophe Dechavanne l'an passé.