Pendant tout l'été, puremedias.com vous propose de redécouvrir chaque jour le générique d'un programme culte du petit écran. Jeu quotidien, divertissement, série étrangère ou saga de l'été, ils ont parfois marqué des générations entières ! Place aujourd'hui à une émission phare des années 2000 de TF1 : "A prendre ou à laisser".
Il s'agit de l'une des émissions de télévision ayant l'une des plus fortes dramaturgies, avec un concept des plus simples : ouvrir des boîtes pour remporter de l'argent. Adapté du format anglais "Deal or No Deal" et produit par Endemol, "A prendre ou à laisser" apparaît en 2004 sur TF1, avec Arthur à la présentation. Pendant cinq ans, de 2004 à 2006 puis de 2009 à 2010, l'animateur de la Une a épaulé chaque soir, en access, 24 candidats venant des 22 régions de France, d'un territoire d'outre-mer et d'un pays francophone. Dans chaque boîte, des sommes d'argent étaient réparties au hasard. Seuls l'huissier de justice, Jean-Louis Hauguel, toujours présent dans le public, et le personnage du "banquier" connaissaient le contenu des boites. De 2014 à 2016, "A prendre ou à laisser" a connu une seconde vie sur D8 (aujourd'hui C8) avec Julien Courbet à l'animation. Le concept de l'émission était resté le même.
Le candidat de chaque numéro pouvait remporter de 0,01 euro à 500.000 euros (puis jusqu'à 100.000 euros sur D8). Au cours de l'émission, le banquier appelait Arthur pour proposer une offre financière au participant en fonction des boîtes qu'il ouvrait. Son objectif était de faire douter le candidat afin de lui faire prendre une mauvaise décision et le priver des gains les plus importants. Il pouvait soit proposer une somme d'argent, soit proposer d'échanger la boîte du candidat avec celle d'une autre personne. Le banquier était par ailleurs surnommé "Le Chacal" par Arthur.
Outre le talent de l'animateur pour tenir le téléspectateur en haleine, l'émission était rythmée par des musiques récurrentes visant à faire monter la tension. Vers la fin de l'émission, lorsqu'il restait 6 boîtes ou moins, la production lançait la musique du film "1492 : Christophe Colomb", "Conquest of Paradise" de Vangelis ou celle d'"Alexandre", "Titans" également de Vangelis. Lorsque la situation était encore plus complexe, la musique de "Gladiator", "Sorrow" de Hans Zimmer, était mise. Et lorsqu'il ne restait que deux boîtes, une importante et une très faible, c'est la bande originale du film "Le dernier des Mohicans" qui était entendue.
Durant la première saison du jeu, quand le candidat du jour éliminait la boîte à 500.000 euros, la production dégainait "La marche funèbre" ou la musique de la scène finale du film "Roméo et Juliette". La bande originale du film "Himalaya, l'enfance d'un chef" de Bruno Coulais était, elle, lancée lorsque le candidat enchaînait les tirages catastrophiques en éliminant les boîtes à grandes sommes. Concernant le générique du jeu télévisé, il a été composé par Jean-Michel Bernard, également compositeur de ceux de "Money Drop" et des "Douze coups de midi". puremedias.com vous propose de visionner le générique d'"A prendre ou à laisser".
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