L'affaire Gérard Depardieu lui avait provoqué le premier fou rire de sa carrière en août 2011. Et cette semaine, Anderson Cooper a récidivé. Le journaliste américain a en effet été incapable de contenir un fou rire mardi soir lorsqu'est venue l'heure de sa chronique "The Ridiculist", dans laquelle il évoque des événements étonnants ou, comme son nom l'indique, ridicules.
C'est déjà dans cette partie de son émission sur CNN qu'Anderson Cooper s'était intéressé au dérapage de Gérard Depardieu, qui avait uriné dans un avion devant les autres passagers. Les deux hommes s'étaient ensuite retrouvés en duplex dans le talk-show du journaliste sur ABC, dans lequel l'acteur français avait provoqué l'hilarité en dévoilant une bouteille dont il ne se séparerait plus à l'avenir pour éviter tout nouvel incident.
Cette fois, le sujet était peut-être moins amusant a priori, le journaliste évoquant le Dyngus Day, une fête d'origine américano-polonaise qui marque la fin des privations du Carême. Au fil des décennies, la journée est plus globalement consacrée à la célébration de la culture américano-polonaise mais n'est pas très connue des Américains dans leur ensemble. Et c'est pourquoi Anderson Cooper s'y intéressait mardi.
Le journaliste s'amuse alors, multiplie les jeux de mots et annonce que trois villes aux Etats-Unis ont célébré le Dyngus Day dont Buffalo, qui se vante d'être la capitale mondiale du Dyngus Day ! Mais c'est au moment d'évoquer les petits rituels traditionnels qu'Anderson Cooper perd son sérieux : la voix off du reportage nous apprend en effet que les garçons doivent asperger d'eau les filles qu'ils apprécient tandis que ces dernières doivent les fouetter gentiment avec la branche d'un saule marsault, dont le nom anglais est "pussy willow".
Ces deux mots font sourire Anderson Cooper qui, en retour plateau, ne dit pas un mot dans l'espoir d'éviter le fou rire. Mais rien n'y fait. Petit à petit, le journaliste craque et quitte même son fauteuil l'espace d'un instant, avouant qu'il est incapable de continuer. "C'est tellement débile", ajoute-t-il à plusieurs reprises avant de tenter, par tous les moyens mais sans résultat, de reprendre son calme. "Il faut tout laisser sortir", dit-il finalement, toujours en riant, avant que le sujet ne reprenne et qu'il parvienne enfin à retrouver son calme. puremedias.com vous propose de découvrir la séquence ci-dessus.