Pour commencer l'année, les internautes ont choisi de s'attaquer à une de leurs cibles favorites : Bernard de la Villardière. Sur Twitter, l'animateur de M6 était en tête des sujets les plus commentés le dimanche 1er janvier, date à laquelle était diffusé un numéro spécial de "Enquête Exclusive". Les internautes ont ainsi ironisé sur son image de baroudeur avec des tweets comme "Bernard de la Villardière va négocier avec les mayas la date de la fin du monde" ou encore "Bernard de la Villardière ne ment pas, c'est la vérité qui se trompe" faisant référence aux "Chuck Norris Facts" qui se moquent du célèbre acteur américain Chuck Norris.
Dans TV Mag, l'animateur de "Enquête Exclusive" est revenu sur les plaisanteries dont il a fait l'objet sur le site de micro-blogging : "C'est plutôt amusant. En les lisant, franchement je n'ai rien de trouvé qui puisse me choquer et j'ai trouvé l'ensemble assez drôle". Pour Bernard de la Villardière, cet intérêt des internautes est même positif : "Etre ainsi mis à l'honneur par les réseaux sociaux est un gage de notoriété et de modernité. Il faut accepter leur loi." L'animateur en profite également pour rappeler qu'il est "irrité" lorsque ces attaques émanent de confrères, qu'il n'hésite pourtant pas à pointer du doigt : "Harry Roselmack ne plonge pas avec les requins, mais cela ne l'empêche pas, comme nous, d'avoir fait récemment, un sujet sur la prostitution." A noter que son confrère Nagui a beaucoup relayé ces plaisanteries sur Twitter via son compte personnel dimanche soir.
Beau joueur, Bernard de la Villardière a répondu sur Twitter : "Ce n'est pas Bernard de La Villardière qui tweet... c'est tweet qui Bernard de La Villardière". Mais si l'animateur fait souvent preuve d'auto-dérision comme dans ce cas, il avait récemment montré que certaines critiques pouvaient aussi l'agacer. Invité à la cérémonie des Gérard de la télé - qui brocarde les personnalités du PAF - pour recevoir sa récompense, il avait sèchement décliné l'invitation : "J'ai de l'humour, de la dérision (...) je trouve que le prix que j'ai reçu via Paris Première est un titre à la dénomination injurieuse, vulgaire, d'une vulgarité extrême (...) Quand Jacques Expert, le directeur général de Paris Première, m'a proposé de venir chercher mon prix, je peux vous dire que je lui ai raccroché à la figure parce que je trouve que la vulgarité est insupportable" avait-il ainsi expliqué.