L'affaire du tweet de Valérie Trierweiler a fait couler beaucoup d'encre et continue de faire parler. Le 12 juin dernier, l'actuelle Première Dame a utilisé son compte Twitter pour apporter son soutien à Olivier Falorni, le concurrent de Ségolène Royal lors des élections législatives dans la 4ème circonscription de Charente-Maritime. Très vite, l'affaire a fait les choux gras des "Guignols" de Canal+ mais également de la presse anglaise.
Dans l'Hexagone, 69% des Français ont désapprouvé le tweet de Valérie Trierweiler. Néanmoins, cette dernière s'est vite éclipsée pour tenter d'éteindre la polémique. "J'ai commis une erreur" aurait-elle confié à son entourage. Mais l'incendie n'était pas prêt de s'éteindre. Cette semaine, Thomas Hollande, le fils aîné du Président de la République et de son ex-compagne, Ségolène Royal, a violemment critiqué Valérie Trierweiler dans Le Point, bien qu'il nie avoir accordé un entretien.
"Ça m'a fait de la peine pour mon père, il déteste tellement que l'on parle de sa vie privée. Ça a détruit l'image normale qu'il avait construite. (...) Je savais que quelque chose pouvait venir d'elle un jour, mais pas un si gros coup. C'est hallucinant" expliquait-il. Lors des cérémonies du 14 juillet, Valérie Trierweiler s'est brièvement expliquée sur la polémique créée par son tweet, non sans une pointe d'humour.
Interrogée par un journaliste de BFM TV, la journaliste de Paris Match a montré quelques regrets suite à son tweet. "Je tournerai sept fois mon pouce maintenant avant de tweeter" a plaisanté Valérie Trierweiler. François Hollande, quant à lui, a jugé qu'il s'agissait d'un incident privé et "considère que les affaires privées se règlent en privé", a-t-il expliqué dans un entretien à Claire Chazal et Laurent Delahousse hier, sur TF1 et France 2, suivi par 9,3 millions de téléspectateurs.